Excellence Monsieur, Marino CUENAT, Premier Conseiller de l’Ambassade de la Confédération Suisse en Côte d’Ivoire,
Mesdames et messieurs les journalistes,
Chers Amis de l’ACAT CI et de la société civile ivoirienne ;
Bienvenu à cette conférence de presse au lendemain du séminaire-atelier des 03 et 04 mai 2016 à Yamoussoukro, organisé par l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture de Côte d’Ivoire (ACAT CI) avec le soutien financier de l’Ambassade de la Confédération Suisse en Côte d’Ivoire que l’ACAT CI ne cesserai de remercier pour le soutient constant qu’elle lui apporte. Le thème de ce séminaire-atelier était : « prévenir la torture par le monitoring des lieux de détention ». Il a visé le renforcement des capacités des points focaux-prison de l’ACAT CI essentiellement constitués de travailleurs sociaux des Mac et la société civile en matière de respect des droits fondamentaux des détenus tels que établis par la CADHP et les Nations Unies.
Cet atelier a réuni 47 participants dont 30 trente points focaux des 34 MAC que compte la Côte d’Ivoire, un représentant de la CNDHCI et 16 membres de la société civile. Il a permis grâce aux différentes communications, de donner d’abord, des informations sur l’ACAT Côte d’Ivoire, la prévention de la torture et des mauvais traitements, les droits fondamentaux des détenus et les recours dont ces derniers disposent. Ensuite, dans un échange conduit par la vice-présidente de l’ACAT CI, il a été question des attentes de l’ACAT CI des points focaux et vice versa. Enfin, les travaux en atelier (il y en a eu trois comme indiqué dans les TDR) ont permis de déterminer une méthodologie d’observation, de collecte, d’analyse d’informations dans les prisons et d’un canevas de rédaction de rapport sur les conditions de détention en Côte d’Ivoire. Il est prévu, avec certainement le soutien de l’ambassade de Suisse et d’autres partenaires comme la CNDHCI qui porte un intérêt à ce projet, de restituer cet important travail d’investigation, d’analyse et de recommandations dans la dernière semaine du mois d’octobre consacrée par les nations unies journée internationale des détenus. Ce rapport pourra contribuer à la mise en place d’une plate-forme d’organisations intervenant dans le milieu carcéral afin d’envisager de manière synergique et structurée les actions dans ce milieu. Un observatoire des lieux de détention ou de prévention de la torture pourra ainsi ce mettre en place. Celui-ci pourra faire des rapports annuels, alternatifs à ceux de l’Etat devant les mécanismes internationaux, faire des propositions et présenter des projets cohérents en synergie d’action à l’Etat et aux partenaires de développement. Mieux, cet observatoire constituera un système de veille stratégique du milieu carcéral ivoirien.
Les deux (2) jours ont donc permis d’avoir des échanges fructueux et une parfaite convergence de vue sur l’humanisation des prisons ivoiriennes tels que souhaité par l’Etat. Mais cela passe par un processus cohérent. Il s’agit d’abord d’établir un état des lieux afin d’identifier les problèmes communs et spécifiques aux MAC. Ce qui permet par la suite Ensuite de mieux orienter les actions sur le milieu carcéral tout en prenant en compte le plan d’amélioration de ce milieu par les partenaires au développement et l’Etat. Ainsi, l’impact des actions mené pourra être pourra être mieux mesuré parce que plus structuré.
Les points focaux après avoir loué cette initiative qui il faut encore le dire, sans le soutient financier de l’ambassade de la Confédération Suisse en Côte d’Ivoire n’aurait certainement pas vu le jour, nous ont d’une part assuré leur adhésion au projet et d’autre part ont promis donné le meilleur d’eux-mêmes pour sa réussite. Nous profitons également de l’occasion pour remercier les ONG partenaires agissant dans le milieu carcéral (AI, MIDH, NGBOADO, OIDH) qui se sont impliqués à ce séminaire et qui par leur propositions constructives ont permis la réussite de ce séminaire atelier .
Mesdames et messieurs les journalistes voici, ce que l’ACAT Côte d’Ivoire avaient comme message à partager avec vous ce matin, message qu’elle souhaite que vous puissiez relayer auprès de l’opinion publique. Rappelons- nous de cette phrase de Martin Luther King, « ce n’est pas la répression du méchant qui fait mal mais le silence des bon ». Et je crois que l’essence même du travail des journalistes, c’est de refuser de ce taire. Pour nous chrétien, Jésus Christ n’a cesse de nous dire « chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits, c’est à mois que l’avez fait » !
Je vous remercie.
Paul ANGAMAN
Président de l’ACAT CI
Contacts : (225) 78 02 43 37 ; 40 36 14 10
Mesdames et messieurs les journalistes,
Chers Amis de l’ACAT CI et de la société civile ivoirienne ;
Bienvenu à cette conférence de presse au lendemain du séminaire-atelier des 03 et 04 mai 2016 à Yamoussoukro, organisé par l’Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture de Côte d’Ivoire (ACAT CI) avec le soutien financier de l’Ambassade de la Confédération Suisse en Côte d’Ivoire que l’ACAT CI ne cesserai de remercier pour le soutient constant qu’elle lui apporte. Le thème de ce séminaire-atelier était : « prévenir la torture par le monitoring des lieux de détention ». Il a visé le renforcement des capacités des points focaux-prison de l’ACAT CI essentiellement constitués de travailleurs sociaux des Mac et la société civile en matière de respect des droits fondamentaux des détenus tels que établis par la CADHP et les Nations Unies.
Cet atelier a réuni 47 participants dont 30 trente points focaux des 34 MAC que compte la Côte d’Ivoire, un représentant de la CNDHCI et 16 membres de la société civile. Il a permis grâce aux différentes communications, de donner d’abord, des informations sur l’ACAT Côte d’Ivoire, la prévention de la torture et des mauvais traitements, les droits fondamentaux des détenus et les recours dont ces derniers disposent. Ensuite, dans un échange conduit par la vice-présidente de l’ACAT CI, il a été question des attentes de l’ACAT CI des points focaux et vice versa. Enfin, les travaux en atelier (il y en a eu trois comme indiqué dans les TDR) ont permis de déterminer une méthodologie d’observation, de collecte, d’analyse d’informations dans les prisons et d’un canevas de rédaction de rapport sur les conditions de détention en Côte d’Ivoire. Il est prévu, avec certainement le soutien de l’ambassade de Suisse et d’autres partenaires comme la CNDHCI qui porte un intérêt à ce projet, de restituer cet important travail d’investigation, d’analyse et de recommandations dans la dernière semaine du mois d’octobre consacrée par les nations unies journée internationale des détenus. Ce rapport pourra contribuer à la mise en place d’une plate-forme d’organisations intervenant dans le milieu carcéral afin d’envisager de manière synergique et structurée les actions dans ce milieu. Un observatoire des lieux de détention ou de prévention de la torture pourra ainsi ce mettre en place. Celui-ci pourra faire des rapports annuels, alternatifs à ceux de l’Etat devant les mécanismes internationaux, faire des propositions et présenter des projets cohérents en synergie d’action à l’Etat et aux partenaires de développement. Mieux, cet observatoire constituera un système de veille stratégique du milieu carcéral ivoirien.
Les deux (2) jours ont donc permis d’avoir des échanges fructueux et une parfaite convergence de vue sur l’humanisation des prisons ivoiriennes tels que souhaité par l’Etat. Mais cela passe par un processus cohérent. Il s’agit d’abord d’établir un état des lieux afin d’identifier les problèmes communs et spécifiques aux MAC. Ce qui permet par la suite Ensuite de mieux orienter les actions sur le milieu carcéral tout en prenant en compte le plan d’amélioration de ce milieu par les partenaires au développement et l’Etat. Ainsi, l’impact des actions mené pourra être pourra être mieux mesuré parce que plus structuré.
Les points focaux après avoir loué cette initiative qui il faut encore le dire, sans le soutient financier de l’ambassade de la Confédération Suisse en Côte d’Ivoire n’aurait certainement pas vu le jour, nous ont d’une part assuré leur adhésion au projet et d’autre part ont promis donné le meilleur d’eux-mêmes pour sa réussite. Nous profitons également de l’occasion pour remercier les ONG partenaires agissant dans le milieu carcéral (AI, MIDH, NGBOADO, OIDH) qui se sont impliqués à ce séminaire et qui par leur propositions constructives ont permis la réussite de ce séminaire atelier .
Mesdames et messieurs les journalistes voici, ce que l’ACAT Côte d’Ivoire avaient comme message à partager avec vous ce matin, message qu’elle souhaite que vous puissiez relayer auprès de l’opinion publique. Rappelons- nous de cette phrase de Martin Luther King, « ce n’est pas la répression du méchant qui fait mal mais le silence des bon ». Et je crois que l’essence même du travail des journalistes, c’est de refuser de ce taire. Pour nous chrétien, Jésus Christ n’a cesse de nous dire « chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits, c’est à mois que l’avez fait » !
Je vous remercie.
Paul ANGAMAN
Président de l’ACAT CI
Contacts : (225) 78 02 43 37 ; 40 36 14 10