Asec-WAC ce samedi 18 juin. C’est l’affiche de la première journée des matches de la poule (A), au stade Robert Champroux. Ces deux équipes se retrouvent 24 ans après.
L’Asec retrouve la phase de poule de la ligue des champions d’Afrique de football, dix ans après. Pour son premier match de poule, les Mimos affrontent samedi au stade Robert Champroux de Marcory, le Wildad Athlétic Casablanca (WAC). Une formation que les Mimos avaient affrontée en 1992 en demi-finale de la coupe d’Afrique des clubs champions. Après une avance de 3 buts à 1 à Abidjan, l’Asec avait été privée de la finale suite à la défaite (2-0) concédée au match retour à Casablanca. 24 ans après, les deux équipes se retrouvent dans un conteste totalement différent. L’Asec n’est plus une foudre de guerre comme par le passé. L’équipe peine à imposer sa suprématie sur le championnat national. Des individualités de la trempe de Ben Badi, Losseni Konaté, Aka Kouamé (…) pouvaient changer la physionomie d’un match ne sont plus qu’un vieux souvenir. Face à une formation de Casa présente durant les manches éliminatoires, c’est un gros défi que devra relever la nouvelle génération composée par Zakri, Dao Youssouf, Goua et leurs coéquipiers s’ils veulent aller loin dans cette compétition africaine des clubs. Cela passe par une victoire à domicile pour négocier leur qualification en territoire étranger. Pour le reste, les Mimos qui dit-on, savent voyager, peuvent réaliser un hold-up parfait à l’extérieur. La victoire à domicile ne peut être atteinte que si les supporters répondent massivement à l’appel des dirigeants du club jaune et noir pour apporter leur soutien, dans les tribunes au seul représentant ivoirien encore en lice dans les compétitions africaines. Outre l’opposition Asec-WAC, la rencontre Zesco United-Al Ahly d’Egypte constitue la seconde sortie de la poule A.
San Aubin
L’Asec retrouve la phase de poule de la ligue des champions d’Afrique de football, dix ans après. Pour son premier match de poule, les Mimos affrontent samedi au stade Robert Champroux de Marcory, le Wildad Athlétic Casablanca (WAC). Une formation que les Mimos avaient affrontée en 1992 en demi-finale de la coupe d’Afrique des clubs champions. Après une avance de 3 buts à 1 à Abidjan, l’Asec avait été privée de la finale suite à la défaite (2-0) concédée au match retour à Casablanca. 24 ans après, les deux équipes se retrouvent dans un conteste totalement différent. L’Asec n’est plus une foudre de guerre comme par le passé. L’équipe peine à imposer sa suprématie sur le championnat national. Des individualités de la trempe de Ben Badi, Losseni Konaté, Aka Kouamé (…) pouvaient changer la physionomie d’un match ne sont plus qu’un vieux souvenir. Face à une formation de Casa présente durant les manches éliminatoires, c’est un gros défi que devra relever la nouvelle génération composée par Zakri, Dao Youssouf, Goua et leurs coéquipiers s’ils veulent aller loin dans cette compétition africaine des clubs. Cela passe par une victoire à domicile pour négocier leur qualification en territoire étranger. Pour le reste, les Mimos qui dit-on, savent voyager, peuvent réaliser un hold-up parfait à l’extérieur. La victoire à domicile ne peut être atteinte que si les supporters répondent massivement à l’appel des dirigeants du club jaune et noir pour apporter leur soutien, dans les tribunes au seul représentant ivoirien encore en lice dans les compétitions africaines. Outre l’opposition Asec-WAC, la rencontre Zesco United-Al Ahly d’Egypte constitue la seconde sortie de la poule A.
San Aubin