Dans le cadre de l’amélioration des indicateurs de performance de la Route Abidjan -Grand Bassam – Aboisso – Noé, axe important dans le Projet de Facilitation du Commerce et du Transport sur le corridor Abidjan – Lagos (PFCTCAL), s’est ouvert ce jeudi à Grand Bassam un Atelier de sensibilisation des acteurs du Corridor Abidjan-Noé.
L’objectif de cet atelier est de sensibiliser afin d’amener tous les acteurs intervenant sur l’axe Abidjan-Noé ainsi que les autorités administratives à œuvrer au respect du nombre de barrages routiers convenus dans le cadre du (PFCTCAL), à l’élimination du racket le long du trajet et au maintien de la qualité du tronçon routier Abidjan – Grand Bassam – Aboisso – Noé.
Selon le président du Comité national de facilitation (CNF), Touré Abdoulaye, il s’agit pour le Gouvernement à travers cet Atelier, de « stimuler le développement économique à travers la fluidité routière et la libre circulation sur le Corridor Abidjan – Lagos ». Il est aussi question avec cet Atelier de proscrire les pratiques anormales qui viennent plomber les efforts faits en vue le tronçon Abidjan – Noé compétitif. Touré Abdoulaye a indiqué que le nombre de barrages sur l’axe Abidjan – Noé est passé de 31 en 2011 à 6 en 2015. Ce qui donne un ratio de 3,87 barrages pour 100 Km vu que le tronçon Abidjan – Noé est long de 170 Km. Ratio au dessus de ce que prévoit la norme communautaire CEDEAO, soit 3 barrages pour 100Km.
Adama Sarr, Conseiller spécial, représentant le ministre auprès du Premier ministre en charge de l’Economie et des Finances a affirmé que le coût d’extorsions de fonds du fait du racket s’est élevé à 304, 5 milliards de F CFA sur les véhicules de transport de marchandises et entre 72 et 118 milliards de F CFA sur les véhicules de transport en commun de voyageurs, en 2014. Ces montants faramineux nécessitent que des efforts soient faits pour endiguer définitivement le racket, a-t-il insisté.
Coulibaly Nafissiatou, Chef de Cabinet du Ministre des transports a, au nom de celui-ci, remercié les participants à cet Atelier en leur indiquant les résultats de leurs travaux sont très attendus afin de mettre un terme au racket et favoriser la fluidité routière, indispensable à la libre circulation des biens et des personnes.
Le projet de Facilitation du Commerce et du Transport sur le Corridor Abidjan – Lagos (PFCTCAL) a pour objectif de faciliter la libre circulation des personnes et des biens le long du corridor côtier Abidjan – Lagos à travers la réduction des barrières physiques et non physiques le long dudit corridor routier.
Elisée B.
L’objectif de cet atelier est de sensibiliser afin d’amener tous les acteurs intervenant sur l’axe Abidjan-Noé ainsi que les autorités administratives à œuvrer au respect du nombre de barrages routiers convenus dans le cadre du (PFCTCAL), à l’élimination du racket le long du trajet et au maintien de la qualité du tronçon routier Abidjan – Grand Bassam – Aboisso – Noé.
Selon le président du Comité national de facilitation (CNF), Touré Abdoulaye, il s’agit pour le Gouvernement à travers cet Atelier, de « stimuler le développement économique à travers la fluidité routière et la libre circulation sur le Corridor Abidjan – Lagos ». Il est aussi question avec cet Atelier de proscrire les pratiques anormales qui viennent plomber les efforts faits en vue le tronçon Abidjan – Noé compétitif. Touré Abdoulaye a indiqué que le nombre de barrages sur l’axe Abidjan – Noé est passé de 31 en 2011 à 6 en 2015. Ce qui donne un ratio de 3,87 barrages pour 100 Km vu que le tronçon Abidjan – Noé est long de 170 Km. Ratio au dessus de ce que prévoit la norme communautaire CEDEAO, soit 3 barrages pour 100Km.
Adama Sarr, Conseiller spécial, représentant le ministre auprès du Premier ministre en charge de l’Economie et des Finances a affirmé que le coût d’extorsions de fonds du fait du racket s’est élevé à 304, 5 milliards de F CFA sur les véhicules de transport de marchandises et entre 72 et 118 milliards de F CFA sur les véhicules de transport en commun de voyageurs, en 2014. Ces montants faramineux nécessitent que des efforts soient faits pour endiguer définitivement le racket, a-t-il insisté.
Coulibaly Nafissiatou, Chef de Cabinet du Ministre des transports a, au nom de celui-ci, remercié les participants à cet Atelier en leur indiquant les résultats de leurs travaux sont très attendus afin de mettre un terme au racket et favoriser la fluidité routière, indispensable à la libre circulation des biens et des personnes.
Le projet de Facilitation du Commerce et du Transport sur le Corridor Abidjan – Lagos (PFCTCAL) a pour objectif de faciliter la libre circulation des personnes et des biens le long du corridor côtier Abidjan – Lagos à travers la réduction des barrières physiques et non physiques le long dudit corridor routier.
Elisée B.