La place publique de Bonoua localité située à une cinquantaine de kilomètre d’Abidjan, a abrité samedi, la cérémonie d’investiture de la Présidente locale des Femmes entreprenantes et dynamiques, Adèle Avlé en qualité de « Femme ambassadrice pour la paix ».
Cette cérémonie d’investiture a été l’occasion pour les personnalités présentes de sensibiliser la présidente ainsi que les femmes de la localité sur la nécessité de briguer des postes de responsabilité et partant contribuer activement à la cohésion sociale. « Eloignez-vous des querelles qui ne mènent à rien. Allez au-delà de vos limites », a conseillé la Directrice générale de Pluriel Communication, Djélika Yéo. Quant au Député-maire de Bonoua Djowan Téké Norbert, il a encouragé les femmes à avoir confiance en elle sans cesse, à voir grand et à rester rassemblées autour de leur présidente. « Ne doutez pas de vous-mêmes », a renchéri le sous-Préfet de Bonoua
Adèle Avlé, la nouvelle ambassadrice de la paix dans la commune de Bonoua a promis œuvrer à la paix dans la localité. Elle a demandé aux Femmes de sa localité de se sentir, elles aussi, en mission pour que Bonoua soit « un havre de paix et surtout un espace de promotion et d’affirmation de la Femme ». De sorte à lui garantir une vraie autonomisation et représentativité aux postes décisionnels.
Le projet femme ambassadrice de paix bénéficie du soutien de ONUFemmes. Il vise à hisser les Femmes, en grand nombre aux postes décisionnels. En tant que femme ambassadrice pour la paix, elles servent de relais pour prêcher la cohésion sociale et agir en vue d’un changement de comportement et d’une prise de conscience plus aigüe de la gente féminine.
En prélude à cette investiture, les femmes ont bénéficié la veille d’une formation sur leadership féminin et la prévention et la gestion des conflits. Les femmes ont appris que le leadership est « la capacité d’un individu à influencer, à motiver et à rendre les autres capables de contribuer à l’efficacité et au succès des organisations dont ils sont membres. Un leader doit être démocratique et doit agir très souvent selon la situation. Le leader doit être, donc, honnête, pragmatique, responsable et avoir le goût du risque, entre autres, a fait savoir le formateur. Il a appelé les Femmes à se défaire des construits sociaux négatifs. Il a conseillé, selon la gravité du conflit, la fuite, l’étouffement, le compromis ou encore la collaboration. Des activités d’évaluation ont permis de jauger le niveau de compréhension et d’intériorisation des modules de formation dispensés. Dans l’ensemble, les Femmes ont bien appréhendé les objectifs de la formation. Elles ont pris l’engagement de contribuer à la cohésion sociale, d’intégrer la non–violence et manager leurs affaires avec tact et responsabilité.
Elisée B.
Cette cérémonie d’investiture a été l’occasion pour les personnalités présentes de sensibiliser la présidente ainsi que les femmes de la localité sur la nécessité de briguer des postes de responsabilité et partant contribuer activement à la cohésion sociale. « Eloignez-vous des querelles qui ne mènent à rien. Allez au-delà de vos limites », a conseillé la Directrice générale de Pluriel Communication, Djélika Yéo. Quant au Député-maire de Bonoua Djowan Téké Norbert, il a encouragé les femmes à avoir confiance en elle sans cesse, à voir grand et à rester rassemblées autour de leur présidente. « Ne doutez pas de vous-mêmes », a renchéri le sous-Préfet de Bonoua
Adèle Avlé, la nouvelle ambassadrice de la paix dans la commune de Bonoua a promis œuvrer à la paix dans la localité. Elle a demandé aux Femmes de sa localité de se sentir, elles aussi, en mission pour que Bonoua soit « un havre de paix et surtout un espace de promotion et d’affirmation de la Femme ». De sorte à lui garantir une vraie autonomisation et représentativité aux postes décisionnels.
Le projet femme ambassadrice de paix bénéficie du soutien de ONUFemmes. Il vise à hisser les Femmes, en grand nombre aux postes décisionnels. En tant que femme ambassadrice pour la paix, elles servent de relais pour prêcher la cohésion sociale et agir en vue d’un changement de comportement et d’une prise de conscience plus aigüe de la gente féminine.
En prélude à cette investiture, les femmes ont bénéficié la veille d’une formation sur leadership féminin et la prévention et la gestion des conflits. Les femmes ont appris que le leadership est « la capacité d’un individu à influencer, à motiver et à rendre les autres capables de contribuer à l’efficacité et au succès des organisations dont ils sont membres. Un leader doit être démocratique et doit agir très souvent selon la situation. Le leader doit être, donc, honnête, pragmatique, responsable et avoir le goût du risque, entre autres, a fait savoir le formateur. Il a appelé les Femmes à se défaire des construits sociaux négatifs. Il a conseillé, selon la gravité du conflit, la fuite, l’étouffement, le compromis ou encore la collaboration. Des activités d’évaluation ont permis de jauger le niveau de compréhension et d’intériorisation des modules de formation dispensés. Dans l’ensemble, les Femmes ont bien appréhendé les objectifs de la formation. Elles ont pris l’engagement de contribuer à la cohésion sociale, d’intégrer la non–violence et manager leurs affaires avec tact et responsabilité.
Elisée B.