L’application de la levée de la suspension des 27 auto-écoles décidée par la direction générale des transports depuis le 8 juin dernier rencontre des écueils sur le terrain. Du moins, si l’on s’en tient aux déclarations faites vendredi par le président de l’Union des directeurs d’auto-écoles professionnelles de Côte d’Ivoire, lors d’une conférence de presse à Cocody. « La suspension est levée, mais Quipux-Afrique fait de la résistance, en refoulant sur ses sites les élèves des auto-écoles. Nos élèves reviennent chez nous, tout fâchés et nous agressent. Nous disons à Quipux de s’en tenir strictement à la décision de la direction générale des transports. Tout se passe comme si c’est le directeur de Quipuix qui est le directeur des transports » a dénoncé, amer, Koffi Bi Djédjé Roger. Non sans mettre en garde l’opérateur d’édition des permis de conduire. Le président de l’union des directeurs auto-écoles professionnelles de Côte d’Ivoire qui a salué à sa juste valeur cette décision de levée de suspension le ministère des Transports, s’est aussi insurgé contre le fait que « Quipuix veuille jouer la fonction régalienne dévolue à l’Etat ».
Dans un courrier adressé au directeur général de Quipuix-Afrique le 8 juillet dernier, Kouakou K. Romain, directeur général des transports, écrit : « Aussi, me référant au rapport de l’igt dont copie figure en pièce jointe, et conformément aux instructions du ministre, vous saurai-je gré des dispositions que vous voudriez prendre pour permettre à ces établissements, dont la liste est jointe au présent courrier d’avoir à nouveau accès à la plate-forme technologique en vue de continuer la procédure pour les dossiers déjà engagés, notamment les candidats inscrits sur la plate-forme avant l’entrée en vigueur de la sanction », indique en substance ledit courrier ayant pour objet « levée de suspension ».
Félix Teha Dessrait
Dans un courrier adressé au directeur général de Quipuix-Afrique le 8 juillet dernier, Kouakou K. Romain, directeur général des transports, écrit : « Aussi, me référant au rapport de l’igt dont copie figure en pièce jointe, et conformément aux instructions du ministre, vous saurai-je gré des dispositions que vous voudriez prendre pour permettre à ces établissements, dont la liste est jointe au présent courrier d’avoir à nouveau accès à la plate-forme technologique en vue de continuer la procédure pour les dossiers déjà engagés, notamment les candidats inscrits sur la plate-forme avant l’entrée en vigueur de la sanction », indique en substance ledit courrier ayant pour objet « levée de suspension ».
Félix Teha Dessrait