Récemment la ville de Sassandra a été secouée par des palabres entre communautés ethniques, notamment entre autochtones Néo et allogènes Malinké. Quelques jours après cette crise, une partie du marché central est partie en fumée. Ces situations ont créé un malaise dans la ville. La cohésion entre ces communautés a été ébranlée et la division s’est installée entre des cadres et des élus.
Face à cette situation qui prévaut dans cette partie du pays, le président de la Fédération des organisations républicaines pour la cohésion et l'émergence (Force 2015) s'y est rendu à l’invitation de la coordination locale. Un déjeuner-débat a eu lieu à travers le thème : « Cohésion sociale et développement : cas de Sassandra »
Une vingtaine de leaders d'opinions et l'ensemble des membres du bureau de la coordination départementale de la FORCE 2015 de Sassandra ont pris part à ce déjeuner-débat. Invité spécial et conférencier principal, Charles Gnaoré a présenté les atouts naturels et touristiques de la localité.
Sassandra est l'une des premières villes ivoiriennes créées par le colonisateur. Sa bordure, à la fois, avec la mer et le fleuve Sassandra (duquel la ville tient le nom ) fait que la pêche est la principale activité des populations constituées en majorité d'autochtones Néo, d'allochtones Malinké, Sénoufo et Baoulé. La ville connaît une forte immigration de pêcheurs ghanéens, maliens et nigériens. Dans la région de Sassandra, l'on cultive les matières premières que sont le cacao, le café, le palmier à huile et l'hévéa.
Pour le président de la Force 2015, la capitale de la région du Gboklé, a d'énormes potentialités naturelles. Sur le plan touristique, il a vanté la beauté des plages de Sassandra : l'embouchure du fleuve Sassandra d'avec la mer, la maison du gouverneur Soria Dacostar qui date de 1469, les singes sacrés d’un hôtel renommé, les hippopotames de Likpidou , l'ancienne prison des esclaves à Grand-drevin , les caïmans de Gnézéko...
S'appuyant sur tous ces atouts, Charles Gnaoré a demandé à tous les peuples qui vivent à Sassandra, la cohésion et l'union. Il a conseillé l'entente et la fraternité entre tous ces peuples pour le bon développement du département. Il a dit que les cadres et les élus gagneraient à taire leurs divergences et leurs antagonismes pour œuvrer à l'union et au progrès de leur cité.
Pour lui, les autorités administratives et politiques, appuyées en cela par l'Etat, gagneraient à réhabiliter, à protéger et à mettre en valeur les nombreux sites touristiques du département et de la région.
Charles Gnaoré pense aussi que Sassandra doit et peut devenir la première ville touristique de la Côte d’Ivoire, s’il y a une volonté politique de la part des cadres et élus. Cette volonté politique ne saurait, selon lui se concrétiser sans l'union des filles et des fils de la localité.
S'adressant à ses hôtes, le président de la Force 2015 a demandé de travailler à la cohésion et à l'entente. Il a conseillé l'union et la solidarité entre les communautés ethniques et les peuples qui vivent à Sassandra.
Charles Gnaoré a confié à la coordination locale de la Force 2015, une mission de paix et de conciliation dans le département, et il a demandé à celle-ci, de participer à toutes les actions de développement de la ville.
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Face à cette situation qui prévaut dans cette partie du pays, le président de la Fédération des organisations républicaines pour la cohésion et l'émergence (Force 2015) s'y est rendu à l’invitation de la coordination locale. Un déjeuner-débat a eu lieu à travers le thème : « Cohésion sociale et développement : cas de Sassandra »
Une vingtaine de leaders d'opinions et l'ensemble des membres du bureau de la coordination départementale de la FORCE 2015 de Sassandra ont pris part à ce déjeuner-débat. Invité spécial et conférencier principal, Charles Gnaoré a présenté les atouts naturels et touristiques de la localité.
Sassandra est l'une des premières villes ivoiriennes créées par le colonisateur. Sa bordure, à la fois, avec la mer et le fleuve Sassandra (duquel la ville tient le nom ) fait que la pêche est la principale activité des populations constituées en majorité d'autochtones Néo, d'allochtones Malinké, Sénoufo et Baoulé. La ville connaît une forte immigration de pêcheurs ghanéens, maliens et nigériens. Dans la région de Sassandra, l'on cultive les matières premières que sont le cacao, le café, le palmier à huile et l'hévéa.
Pour le président de la Force 2015, la capitale de la région du Gboklé, a d'énormes potentialités naturelles. Sur le plan touristique, il a vanté la beauté des plages de Sassandra : l'embouchure du fleuve Sassandra d'avec la mer, la maison du gouverneur Soria Dacostar qui date de 1469, les singes sacrés d’un hôtel renommé, les hippopotames de Likpidou , l'ancienne prison des esclaves à Grand-drevin , les caïmans de Gnézéko...
S'appuyant sur tous ces atouts, Charles Gnaoré a demandé à tous les peuples qui vivent à Sassandra, la cohésion et l'union. Il a conseillé l'entente et la fraternité entre tous ces peuples pour le bon développement du département. Il a dit que les cadres et les élus gagneraient à taire leurs divergences et leurs antagonismes pour œuvrer à l'union et au progrès de leur cité.
Pour lui, les autorités administratives et politiques, appuyées en cela par l'Etat, gagneraient à réhabiliter, à protéger et à mettre en valeur les nombreux sites touristiques du département et de la région.
Charles Gnaoré pense aussi que Sassandra doit et peut devenir la première ville touristique de la Côte d’Ivoire, s’il y a une volonté politique de la part des cadres et élus. Cette volonté politique ne saurait, selon lui se concrétiser sans l'union des filles et des fils de la localité.
S'adressant à ses hôtes, le président de la Force 2015 a demandé de travailler à la cohésion et à l'entente. Il a conseillé l'union et la solidarité entre les communautés ethniques et les peuples qui vivent à Sassandra.
Charles Gnaoré a confié à la coordination locale de la Force 2015, une mission de paix et de conciliation dans le département, et il a demandé à celle-ci, de participer à toutes les actions de développement de la ville.
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