Abidjan - Le Syndicat national des ex-déflatés de la santé (SYNADES) organisera lundi, à Abidjan, une assemblée générale "exceptionnelle" pour décider d’actions d’envergure en vue de leur intégration à la Fonction publique, indique une note d’information de son secrétaire général parvenue à l’AIP.
Au cours d’un point de presse, animé lundi, au Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Abidjan-Treichville, M. Hubert Kpansaï, s’est insurgé contre le refus de leur tutelle d’appliquer le décret du 24 juin 2014, portant dissolution du fonds d'insertion des jeunes diplômés et de réinsertion des déflatés des secteurs publics et privés des agents de la santé.
Selon lui, les membres du SYNADES courent derrière un statut depuis 20 ans et que malgré le dernier décret, leur demande d'intégration à la Fonction publique est restée jusque-là vaine parce qu’ils font face à un « refus catégorique » des décideurs en charge de ce dossier.
"Nous voulons une clarification de notre statut à partir du moment où nos rémunérations proviennent du budget de l'État de Côte d'Ivoire. Notre ministère organise des recrutements exceptionnels à la Fonction publique et ignore notre existence. Nous sommes fatigués", déclare-t-il dans le document.
Le SYNADES est composé d'aides soignants, de garçons et filles de salle, de brancardiers, d'agents de bureau, de comptables, de manœuvres, apprend-on.
(AIP)
fmo/akn/kam
Au cours d’un point de presse, animé lundi, au Centre hospitalier universitaire (CHU) d’Abidjan-Treichville, M. Hubert Kpansaï, s’est insurgé contre le refus de leur tutelle d’appliquer le décret du 24 juin 2014, portant dissolution du fonds d'insertion des jeunes diplômés et de réinsertion des déflatés des secteurs publics et privés des agents de la santé.
Selon lui, les membres du SYNADES courent derrière un statut depuis 20 ans et que malgré le dernier décret, leur demande d'intégration à la Fonction publique est restée jusque-là vaine parce qu’ils font face à un « refus catégorique » des décideurs en charge de ce dossier.
"Nous voulons une clarification de notre statut à partir du moment où nos rémunérations proviennent du budget de l'État de Côte d'Ivoire. Notre ministère organise des recrutements exceptionnels à la Fonction publique et ignore notre existence. Nous sommes fatigués", déclare-t-il dans le document.
Le SYNADES est composé d'aides soignants, de garçons et filles de salle, de brancardiers, d'agents de bureau, de comptables, de manœuvres, apprend-on.
(AIP)
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