Quand les chauffeurs des transports en commun, communément appelés Gbaka sèment le désordre, sur le pont échangeur de Liberté. Chaque jour, aux heures de pointes, les chauffeurs font des actes d’incivisme notoire. Venant du « carrefour la vie », au lieu d’aller jusqu’au rond-point, comme tous les autres automobilistes, dans leur cas, ils préfèrent prendre le raccourcis, en faisant un demi-tour sur le pont ou en prenant la voie qu’empruntent les automobilistes, en sens inverse.
Toutes les personnes qui passent par-là, à ces heures le constatent d’elles-mêmes. Ces chauffeurs font montre d’un incivisme notoire en bloquant la route. Ce qui crée un embouteillage. Les chauffeurs n’ont plus que des klaxons et cris de réprobation parce que tout simplement ils n’ont plus de voies. Et cela se passe sous les yeux des éléments des forces de l’ordre. Vivement qu’une solution soit trouvée pour la fluidité des transports.
Toutes les personnes qui passent par-là, à ces heures le constatent d’elles-mêmes. Ces chauffeurs font montre d’un incivisme notoire en bloquant la route. Ce qui crée un embouteillage. Les chauffeurs n’ont plus que des klaxons et cris de réprobation parce que tout simplement ils n’ont plus de voies. Et cela se passe sous les yeux des éléments des forces de l’ordre. Vivement qu’une solution soit trouvée pour la fluidité des transports.