Abidjan - Le pôle Société Civile du Comité de pilotage de la COP22 a entrepris, depuis samedi, une série de rencontres avec des ONG, réseaux et coalitions dans divers pays du continent africain, afin de renforcer la mobilisation des acteurs non gouvernementaux africains et leur participation à la 22ème conférence des Nations-unies sur le climat.
La première phase de cette mission concerne l’Afrique du sud, le Cameroun, l’Ethiopie, le Ghana, le Kenya, le Nigéria, l’Ouganda, la République Démocratique du Congo, le Rwanda, le Soudan, le Swaziland et la Tanzanie, indique un communiqué parvenu à l’AIP.
«La participation de la société civile africaine à la COP22 est essentielle pour plusieurs raisons : d’abord parce que la société civile internationale a joué avec les chercheurs et les experts un rôle important dans le processus qui a abouti à l’accord de Paris. Aussi, la conférence de Marrakech se veut le relais des préoccupations des -Suds-, l’Afrique et les îles insulaires notamment. Enfin, la résistance au changement climatique exige d’agir au niveau international, régional et local » a déclaré M. Driss El Yazami, chef du pôle société civile de la COP22.
Le programme de cette tournée africaine est préparé en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères et de la coopération et bénéficie du soutien du réseau diplomatique marocain.
Le pôle Société Civile a pour mission de contribuer à une prise de conscience plus forte des acteurs non étatiques marocains sur les enjeux environnementaux, mais aussi de se rapprocher et établir des partenariats forts avec la société civile internationale et agir en faveur de dynamiques structurelles durables, portées par les acteurs non étatiques, qui se prolongent au-delà de la COP22.
(AIP)
ask
La première phase de cette mission concerne l’Afrique du sud, le Cameroun, l’Ethiopie, le Ghana, le Kenya, le Nigéria, l’Ouganda, la République Démocratique du Congo, le Rwanda, le Soudan, le Swaziland et la Tanzanie, indique un communiqué parvenu à l’AIP.
«La participation de la société civile africaine à la COP22 est essentielle pour plusieurs raisons : d’abord parce que la société civile internationale a joué avec les chercheurs et les experts un rôle important dans le processus qui a abouti à l’accord de Paris. Aussi, la conférence de Marrakech se veut le relais des préoccupations des -Suds-, l’Afrique et les îles insulaires notamment. Enfin, la résistance au changement climatique exige d’agir au niveau international, régional et local » a déclaré M. Driss El Yazami, chef du pôle société civile de la COP22.
Le programme de cette tournée africaine est préparé en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères et de la coopération et bénéficie du soutien du réseau diplomatique marocain.
Le pôle Société Civile a pour mission de contribuer à une prise de conscience plus forte des acteurs non étatiques marocains sur les enjeux environnementaux, mais aussi de se rapprocher et établir des partenariats forts avec la société civile internationale et agir en faveur de dynamiques structurelles durables, portées par les acteurs non étatiques, qui se prolongent au-delà de la COP22.
(AIP)
ask