L’Asec en année blanche
Pour la saison 2016, les Mimos ont déjà leur bilan en main. Au plan local comme continental, c’est une année totalement blanche pour l’équipe chère à Me Roger Ouégnin. Après avoir perdu la coupe nationale, les Mimos ont perdu tout espoir du sacre national après leur défaite dimanche face au Co.Korhogo. Hier au stade Champroux de Marcory, le représentant ivoirien en ligue des champions a illustré sa piètre campagne africaine par un match nul (aussi bien dans la prestation comme au score) face aux Egyptiens d’Al Ahly. Conséquence. L’Asec termine à la dernière place de sa poule. Une performance qui montre bien que le retour des Mimos sur le toit africain n’est pas pour maintenant. Il faut certainement situer les responsabilités et avoir le courage de percer l’abcès si l’Asec veut redevenir le club phare du football ivoirien. Car le mal Mimos semble être plus profond qu’on ne le croit. Si la contre performance du club le plus populaire de Côte d’Ivoire se limitait sur la scène africaine, il serait plus facile à digérer par les nombreux actionnaires. Or, malheureusement pour les actionnaires, depuis cinq années consécutives, leur club court après le titre national. Cette saison encore, les Jaune et Noir vont impuissamment assister à la bataille pour le titre entre l’As Tanda et le Sporting club de Gagnoa.
Asec, où est ton mal ?
Il est bien difficile de comprendre le déclin de l’ASEC si l’on prend en compte l’environnement infrastructurel que possède le club. On ne le dira peut-être pas assez. Le club de Me Roger Ouégnin dispose de l’un des meilleures infrastructures de la sous région. Sol Béni est un cadre assez somptueux qui devrait pouvoir fabriquer des joueurs assez talentueux et capables au moins de tenir la dragée haute au plan national. Mais d’où vient que l’Asec, malgré le changement d’entraineurs, n’arrive pas à tenir son statut de club phare ? Les techniciens ne sont-ils pas à la hauteur de la tâche ? Pourquoi Sol Béni n’est pas capable de sortie du talent depuis les deux premières générations ? Le mode de recrutement des enfants est-il biaisé ? Les joueurs de l’Asec sont-ils bien traités ? Me Roger Ouégnin n’est-il pas à bout d’inspiration après tant d’années au pouvoir ? Ne devrait-il pas passer le témoin ? Voici autant de préoccupations qui devraient trouver réponses si les actionnaires veulent retrouver leur équipe au premier plan.
Par DE BOUAFFO
Pour la saison 2016, les Mimos ont déjà leur bilan en main. Au plan local comme continental, c’est une année totalement blanche pour l’équipe chère à Me Roger Ouégnin. Après avoir perdu la coupe nationale, les Mimos ont perdu tout espoir du sacre national après leur défaite dimanche face au Co.Korhogo. Hier au stade Champroux de Marcory, le représentant ivoirien en ligue des champions a illustré sa piètre campagne africaine par un match nul (aussi bien dans la prestation comme au score) face aux Egyptiens d’Al Ahly. Conséquence. L’Asec termine à la dernière place de sa poule. Une performance qui montre bien que le retour des Mimos sur le toit africain n’est pas pour maintenant. Il faut certainement situer les responsabilités et avoir le courage de percer l’abcès si l’Asec veut redevenir le club phare du football ivoirien. Car le mal Mimos semble être plus profond qu’on ne le croit. Si la contre performance du club le plus populaire de Côte d’Ivoire se limitait sur la scène africaine, il serait plus facile à digérer par les nombreux actionnaires. Or, malheureusement pour les actionnaires, depuis cinq années consécutives, leur club court après le titre national. Cette saison encore, les Jaune et Noir vont impuissamment assister à la bataille pour le titre entre l’As Tanda et le Sporting club de Gagnoa.
Asec, où est ton mal ?
Il est bien difficile de comprendre le déclin de l’ASEC si l’on prend en compte l’environnement infrastructurel que possède le club. On ne le dira peut-être pas assez. Le club de Me Roger Ouégnin dispose de l’un des meilleures infrastructures de la sous région. Sol Béni est un cadre assez somptueux qui devrait pouvoir fabriquer des joueurs assez talentueux et capables au moins de tenir la dragée haute au plan national. Mais d’où vient que l’Asec, malgré le changement d’entraineurs, n’arrive pas à tenir son statut de club phare ? Les techniciens ne sont-ils pas à la hauteur de la tâche ? Pourquoi Sol Béni n’est pas capable de sortie du talent depuis les deux premières générations ? Le mode de recrutement des enfants est-il biaisé ? Les joueurs de l’Asec sont-ils bien traités ? Me Roger Ouégnin n’est-il pas à bout d’inspiration après tant d’années au pouvoir ? Ne devrait-il pas passer le témoin ? Voici autant de préoccupations qui devraient trouver réponses si les actionnaires veulent retrouver leur équipe au premier plan.
Par DE BOUAFFO