Le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) tient depuis ce lundi, un séminaire de formation d’une soixantaine de chercheurs agronomes de Côte d’Ivoire sur le rapport étroit qui lie innovation et propriété intellectuelle.
Cet atelier national sur le système de protection des obtentions végétales est le fruit d’un diagnostic commun à bon nombre de pays en développement, selon lequel on observe une méconnaissance des enjeux du système de la propriété intellectuelle par le grand public et une faiblesse des ressources humaines qualifiées dans le domaine.
Par conséquent le renforcement des capacités des chercheurs des centres ou instituts de recherche, dans le domaine de la propriété intellectuelle est un véritable défi à relever afin d’optimiser les énormes potentialités qu’offre notre diversité biologique.
Plusieurs experts de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) et internationaux dans le domaine des obtentions végétales vont donc participer au séminaire qui a pour objectif de promouvoir la culture de la propriété intellectuelle dans les centres de recherche agronomique du pays.
Il s’agit aussi de comprendre, afin de respecter cette propriété intellectuelle de sorte à permettre aux chercheurs d’acquérir les bons reflexes pour valoriser au mieux les ressources ou simplement éviter les pratiques illicites.
Pour le Directeur Général du CNRA, il va permettre de familiariser tous les acteurs au système de création et de protection des obtentions végétales.
« En science, les choses évoluent très rapidement et nous ne sommes pas les seules centres de recherche au monde. Certains centres mal intentionnées pourraient à l’aide de nouvelles technologies s’approprier nos recherches et se les attribuer » a-t-il justifié, précisant que la pérennité de l’effort de recherche ne sera assurée que si les institutions ont des droits exclusifs d’exploitation sur leurs résultats de recherche.
Quant Mme Kanté Salimata, représentant le ministre, elle a salué la tenue de ce séminaire qui vient en soutien aux actions déjà entreprises par l’Etat dans le domaine agricole ivoirien.
L’OAPI est un organisme intergouvernemental regroupant seize États africains, chargé de protéger de manière uniforme les droits de propriété intellectuelle sur les territoires de ces États.
Notons que le séminaire est organisé par L’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) en collaboration avec l’Union Internationale pour la Protection des Obtentions Végétales (UPOV) et l’appui du Ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et du ministère de l’industrie et des mines.
Atapointe
Cet atelier national sur le système de protection des obtentions végétales est le fruit d’un diagnostic commun à bon nombre de pays en développement, selon lequel on observe une méconnaissance des enjeux du système de la propriété intellectuelle par le grand public et une faiblesse des ressources humaines qualifiées dans le domaine.
Par conséquent le renforcement des capacités des chercheurs des centres ou instituts de recherche, dans le domaine de la propriété intellectuelle est un véritable défi à relever afin d’optimiser les énormes potentialités qu’offre notre diversité biologique.
Plusieurs experts de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) et internationaux dans le domaine des obtentions végétales vont donc participer au séminaire qui a pour objectif de promouvoir la culture de la propriété intellectuelle dans les centres de recherche agronomique du pays.
Il s’agit aussi de comprendre, afin de respecter cette propriété intellectuelle de sorte à permettre aux chercheurs d’acquérir les bons reflexes pour valoriser au mieux les ressources ou simplement éviter les pratiques illicites.
Pour le Directeur Général du CNRA, il va permettre de familiariser tous les acteurs au système de création et de protection des obtentions végétales.
« En science, les choses évoluent très rapidement et nous ne sommes pas les seules centres de recherche au monde. Certains centres mal intentionnées pourraient à l’aide de nouvelles technologies s’approprier nos recherches et se les attribuer » a-t-il justifié, précisant que la pérennité de l’effort de recherche ne sera assurée que si les institutions ont des droits exclusifs d’exploitation sur leurs résultats de recherche.
Quant Mme Kanté Salimata, représentant le ministre, elle a salué la tenue de ce séminaire qui vient en soutien aux actions déjà entreprises par l’Etat dans le domaine agricole ivoirien.
L’OAPI est un organisme intergouvernemental regroupant seize États africains, chargé de protéger de manière uniforme les droits de propriété intellectuelle sur les territoires de ces États.
Notons que le séminaire est organisé par L’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) en collaboration avec l’Union Internationale pour la Protection des Obtentions Végétales (UPOV) et l’appui du Ministère de l’enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et du ministère de l’industrie et des mines.
Atapointe