Dans le but d’aider la population ivoirienne à se sentir bien dans sa peau et dans son environnement à travers des actions sociales et citoyennes, les Femmes actives pour le bien-être social(FABÊS) ont décidé de prendre le taureau par les cornes.
L’association qui regroupe près d’un millier de femmes vaillantes a officiellement été présenté au plublic ce samedi 15 octobre à Abidjan.
Pour Minata Koné, la présidente, cette association est née suite à des constats négatifs de faits observés sur le bien-être de la population qui n’honorent pas la notoriété de la Côte d’Ivoire.
Ce sont entre autres des hôpitaux ou centres de santé insalubres, des écoles publiques et marchés mal entretenus, des produits de grandes consommations de mauvaises qualités vendues sur le marché, l’incivisme de certains chauffeurs et l’incivisme d’une partie de la population masculine qui a une propension à uriner à ciel ouvert… et bien d’autres faits néfastes .
Minata Koné et ses amies entendent devant ces situations peu honorables, appeler à un changement de comportement par d’abord, une sensibilisation accrue de la population sur l’importance de préserver l’environnement sain et salubre.
Ensuite mener des actions sociales au profit de cette population pour l’aider à vivre bien et enfin promouvoir le leadership entrepreneurial et l’auto-emploi de la jeunesse.
« Les FABÊS est une association apolitique et laïque. Nous venons en tant que femmes nous battre aux cotés des institutions pour apporter notre pierre au bien être de la nation ivoirienne. Nous ne sommes pas une association de bureau mais une association de terrain et d’actions », a indiqué la présidente Minata Koné qui a para ailleurs annoncé le début des actions de terrain de l’association dans les prochains jours dans un centre de santé.
Outre ces actions de promotion de la salubrité et de consommation de biens de qualités, selon la présidente de cette association citoyenne, elle entend également agir en faveur des personnes en situation d’handicap. Promouvoir l’alphabétisation, mais surtout la scolarisation de la jeune fille.
Elles comptent sensibiliser à assainir les milieux scolaires des fléaux sociaux (consommation de drogue, d’alcool grossesses en milieu scolaire) et enfin promouvoir l’excellence dans les milieux ruraux et dans les différentes couches socioprofessionnelles.
PR
L’association qui regroupe près d’un millier de femmes vaillantes a officiellement été présenté au plublic ce samedi 15 octobre à Abidjan.
Pour Minata Koné, la présidente, cette association est née suite à des constats négatifs de faits observés sur le bien-être de la population qui n’honorent pas la notoriété de la Côte d’Ivoire.
Ce sont entre autres des hôpitaux ou centres de santé insalubres, des écoles publiques et marchés mal entretenus, des produits de grandes consommations de mauvaises qualités vendues sur le marché, l’incivisme de certains chauffeurs et l’incivisme d’une partie de la population masculine qui a une propension à uriner à ciel ouvert… et bien d’autres faits néfastes .
Minata Koné et ses amies entendent devant ces situations peu honorables, appeler à un changement de comportement par d’abord, une sensibilisation accrue de la population sur l’importance de préserver l’environnement sain et salubre.
Ensuite mener des actions sociales au profit de cette population pour l’aider à vivre bien et enfin promouvoir le leadership entrepreneurial et l’auto-emploi de la jeunesse.
« Les FABÊS est une association apolitique et laïque. Nous venons en tant que femmes nous battre aux cotés des institutions pour apporter notre pierre au bien être de la nation ivoirienne. Nous ne sommes pas une association de bureau mais une association de terrain et d’actions », a indiqué la présidente Minata Koné qui a para ailleurs annoncé le début des actions de terrain de l’association dans les prochains jours dans un centre de santé.
Outre ces actions de promotion de la salubrité et de consommation de biens de qualités, selon la présidente de cette association citoyenne, elle entend également agir en faveur des personnes en situation d’handicap. Promouvoir l’alphabétisation, mais surtout la scolarisation de la jeune fille.
Elles comptent sensibiliser à assainir les milieux scolaires des fléaux sociaux (consommation de drogue, d’alcool grossesses en milieu scolaire) et enfin promouvoir l’excellence dans les milieux ruraux et dans les différentes couches socioprofessionnelles.
PR