La Côte d’Ivoire est passée de la dernière place (47e sur 48) à la 9e place au classement mondial de la Fédération International de Pétanque, à l’issue des championnats mondiaux à Madagascar, où les éléphants boulistes se sont illustrés de fort belle manière.
C’est le président de la fédération ivoirienne de pétanque (FIP), Touré Léopold qui l’a annoncé, samedi, lors d’une conférence de presse bilan à Abidjan.
Du 1er au 04 décembre 2016 à Antananarivo, la côte d’ivoire prenait part aux 47e championnats du monde de pétanque remportés par les hôtes face au Bénin.
C’est le plus prestigieux plateau de la fédération internationale de pétanque et de jeu provençal, en termes de qualité des pays participants.
48 nations ont effectivement participé à ces championnats du monde, qui se sont déroulés principalement en triplette.
Cependant, les éléphants ont terminé à la 9e place, après avoir été battus en 8e de finale 10-13 par l’Italie.
« Au premier tour, nous étions la seule équipe à avoir réalisé un parcours sans faute, terminant 1er sur 48 au premier tour » indique fièrement le président
Les éléphants boulistes, logés dans une poule difficile à cause de leur mauvais rang mondial avant le tournoi, ont respectivement battu les Pays-Bas (13-01), la Belgique (13-09), la Suisse (13-11), Monaco (12-11) et le Danemark (13-03). En 16e de finale, la côte d’ivoire a disposé de l’ile Maurice 13-09.
« Nous étions convaincus d’aller jusqu’au bout, lorsque l’Italie après le 1er tour, nous a barré le chemin des quarts. Il faut l’avouer, notre expédition malgache a tourné court. Nous remplissant d’énormes regrets. Dans la mesure où la Côte d’Ivoire avait les armes d’aller chercher cette coupe » déplore Touré Léopold
« Plus de 15 participations aux championnats du monde, c’est la première fois que la côte d’ivoire parvient à passer le 1er tour » poursuit-il, félicitant son équipe et l’encadrement technique.
Cependant, pas question pour lui de se décourager, il faut tirer les enseignements de cet échec et aller de l’avant.
Le premier responsable du sport de boule ivoirien a également profité de l’occasion pour faire le bilan de la première année de son mandat qu’il a prioritairement orienté sur la redynamisation de la discipline.
Entre autres réalisations, on peut noter la reprise de compétitions nationales organisées par la FIP, l’ouverture de la saison en janvier 2015 à Yamoussoukro avec 153 doublettes, l’équipement des clubs, une opération d’électrification de certains terrains de jeu.
« Nous avons assaini le milieu de la pétanque ivoirienne avec des tests anti-dopage pendant les compétitions majeures. Tout le laisser-aller qui prévalait a disparu. Ces tests anti-dopage, nous allons les renforcer en nous appuyant dorénavant sur l’expertise du comité national anti-dopage dans le souci de leur donner plus de crédibilité. » a-t-il-assuré
Concernant les compétitions internationales, il fallait premièrement redonner une âme aux éléphants boulistes, la sélection ivoirienne a ainsi pris part à trois compétitions.
La coupe de la CEDEAO au Burkina Faso, un tournoi remporté les 14 et 15 mai derniers. Deux semaines plus tard, les ivoiriens étaient au Maroc, pour prendre part à un festival international où ils ont terminé à la 3e place en laissant une très bonne image d’eux aux observateurs.
Enfin, les 47e championnats du monde a Antananarivo. Les éléphants boulistes préparent ardemment le mondial 2017 qui doit se tenir en Belgique dans le mois de Mars.
Atapointe
C’est le président de la fédération ivoirienne de pétanque (FIP), Touré Léopold qui l’a annoncé, samedi, lors d’une conférence de presse bilan à Abidjan.
Du 1er au 04 décembre 2016 à Antananarivo, la côte d’ivoire prenait part aux 47e championnats du monde de pétanque remportés par les hôtes face au Bénin.
C’est le plus prestigieux plateau de la fédération internationale de pétanque et de jeu provençal, en termes de qualité des pays participants.
48 nations ont effectivement participé à ces championnats du monde, qui se sont déroulés principalement en triplette.
Cependant, les éléphants ont terminé à la 9e place, après avoir été battus en 8e de finale 10-13 par l’Italie.
« Au premier tour, nous étions la seule équipe à avoir réalisé un parcours sans faute, terminant 1er sur 48 au premier tour » indique fièrement le président
Les éléphants boulistes, logés dans une poule difficile à cause de leur mauvais rang mondial avant le tournoi, ont respectivement battu les Pays-Bas (13-01), la Belgique (13-09), la Suisse (13-11), Monaco (12-11) et le Danemark (13-03). En 16e de finale, la côte d’ivoire a disposé de l’ile Maurice 13-09.
« Nous étions convaincus d’aller jusqu’au bout, lorsque l’Italie après le 1er tour, nous a barré le chemin des quarts. Il faut l’avouer, notre expédition malgache a tourné court. Nous remplissant d’énormes regrets. Dans la mesure où la Côte d’Ivoire avait les armes d’aller chercher cette coupe » déplore Touré Léopold
« Plus de 15 participations aux championnats du monde, c’est la première fois que la côte d’ivoire parvient à passer le 1er tour » poursuit-il, félicitant son équipe et l’encadrement technique.
Cependant, pas question pour lui de se décourager, il faut tirer les enseignements de cet échec et aller de l’avant.
Le premier responsable du sport de boule ivoirien a également profité de l’occasion pour faire le bilan de la première année de son mandat qu’il a prioritairement orienté sur la redynamisation de la discipline.
Entre autres réalisations, on peut noter la reprise de compétitions nationales organisées par la FIP, l’ouverture de la saison en janvier 2015 à Yamoussoukro avec 153 doublettes, l’équipement des clubs, une opération d’électrification de certains terrains de jeu.
« Nous avons assaini le milieu de la pétanque ivoirienne avec des tests anti-dopage pendant les compétitions majeures. Tout le laisser-aller qui prévalait a disparu. Ces tests anti-dopage, nous allons les renforcer en nous appuyant dorénavant sur l’expertise du comité national anti-dopage dans le souci de leur donner plus de crédibilité. » a-t-il-assuré
Concernant les compétitions internationales, il fallait premièrement redonner une âme aux éléphants boulistes, la sélection ivoirienne a ainsi pris part à trois compétitions.
La coupe de la CEDEAO au Burkina Faso, un tournoi remporté les 14 et 15 mai derniers. Deux semaines plus tard, les ivoiriens étaient au Maroc, pour prendre part à un festival international où ils ont terminé à la 3e place en laissant une très bonne image d’eux aux observateurs.
Enfin, les 47e championnats du monde a Antananarivo. Les éléphants boulistes préparent ardemment le mondial 2017 qui doit se tenir en Belgique dans le mois de Mars.
Atapointe