« Les acquis et les nouveaux enjeux de la filière semence en Côte d’Ivoire» tel est le thème de la conférence organisée par l’Association des sciences agronomiques (Aisa) en partenariat avec l’Association nationale Ivoirienne des semenciers de Côte d’Ivoire (Anasemci) le jeudi décembre 2016, au siège de l’Aisa sise à Yopougon. Objectif, accroître la productivité agricole d’au moins 50% d’ici 2050.
« La Côte d’Ivoire est l’un des carrefours du monde de développement agricole qui réunit les acteurs du monde pour réfléchir sur l’agriculture ivoirienne, africaine voire internationale. Notre association qui est une structure de recherche agronomique se veut être dynamique afin d’améliorer le climat des affaires dans l’agriculture. Selon certaines statistiques, c’est environ 9 milliards d’habitants qui devraient être nourri d’ici 2050. Il y a des défis et enjeux à réaliser » a indiqué Dr Kouassi Sebastino Président de l’Aisa. Selon lui, l’Aisa dans sa politique veut accroître la productivité agricole d’au moins 50% en Côte d’Ivoire. « Notre objectif, est de développer un cadre réglementaire politique approprié, produire des indicateurs et des données visant à aider les responsables nationaux à mieux élaborer leur politique agricole en se basant sur des informations de qualités » a-t-il souligné. Poursuivant, il a fait savoir que, plusieurs mesures ont été prises afin de permettre aux décideurs d’identifier et analyser les obstacles juridiques à la conduite des affaires dans le secteur agricole. « Ces mesures permettront de faire ressortir les insuffisances. Nous dispositions d’un outil d’aide pour les pays et décideurs pour améliorer leur politique agricole. Nous assurons aussi une protection transparente et solide des consommateurs » a-t-il mentionné. Azi Léopold, Pca de l’Anasemci a fait son exposé sur le thème ‘’contribution du secteur semencier à la sécurité alimentaire et à l’essor de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique’’. Selon lui, il est nécessaire de relancer la production agricole mais cela ne peut se faire que par les semences certifiées. « Les semences certifiées garantissent une production de quantité et de qualité. Les semences certifiées ont un impact positif sur le rendement. Elles sont sources de création de richesse et amoindrissent le chômage » a-t-il signifié. Car dira-t-il, le secteur semencier est une source d’espoir et de renaissance pour notre pays. « Pour que l’agriculture se développe il faut une réglementation des règles relatives aux semences et plants. Nous demandons à l’Etat de Côte d’Ivoire d’organiser ce secteur. Car, il contribue à l’amélioration du monde agricole rural » a-t-il dit.
O.D avec G.K
« La Côte d’Ivoire est l’un des carrefours du monde de développement agricole qui réunit les acteurs du monde pour réfléchir sur l’agriculture ivoirienne, africaine voire internationale. Notre association qui est une structure de recherche agronomique se veut être dynamique afin d’améliorer le climat des affaires dans l’agriculture. Selon certaines statistiques, c’est environ 9 milliards d’habitants qui devraient être nourri d’ici 2050. Il y a des défis et enjeux à réaliser » a indiqué Dr Kouassi Sebastino Président de l’Aisa. Selon lui, l’Aisa dans sa politique veut accroître la productivité agricole d’au moins 50% en Côte d’Ivoire. « Notre objectif, est de développer un cadre réglementaire politique approprié, produire des indicateurs et des données visant à aider les responsables nationaux à mieux élaborer leur politique agricole en se basant sur des informations de qualités » a-t-il souligné. Poursuivant, il a fait savoir que, plusieurs mesures ont été prises afin de permettre aux décideurs d’identifier et analyser les obstacles juridiques à la conduite des affaires dans le secteur agricole. « Ces mesures permettront de faire ressortir les insuffisances. Nous dispositions d’un outil d’aide pour les pays et décideurs pour améliorer leur politique agricole. Nous assurons aussi une protection transparente et solide des consommateurs » a-t-il mentionné. Azi Léopold, Pca de l’Anasemci a fait son exposé sur le thème ‘’contribution du secteur semencier à la sécurité alimentaire et à l’essor de la Côte d’Ivoire et de l’Afrique’’. Selon lui, il est nécessaire de relancer la production agricole mais cela ne peut se faire que par les semences certifiées. « Les semences certifiées garantissent une production de quantité et de qualité. Les semences certifiées ont un impact positif sur le rendement. Elles sont sources de création de richesse et amoindrissent le chômage » a-t-il signifié. Car dira-t-il, le secteur semencier est une source d’espoir et de renaissance pour notre pays. « Pour que l’agriculture se développe il faut une réglementation des règles relatives aux semences et plants. Nous demandons à l’Etat de Côte d’Ivoire d’organiser ce secteur. Car, il contribue à l’amélioration du monde agricole rural » a-t-il dit.
O.D avec G.K