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Société Publié le mardi 7 février 2017 | AIP

La CNDHCI et la Fondation Magic system désormais partenaires

© AIP Par DR
Promotion des droits de l’homme: La CNDHCI signe un partenariat avec la fondation Magic System
Mardi 07 février 2017. Siège de la CNDHCI à Cocody, les deux Plateaux Vallons. Dans le cadre de sa mission de promotion, la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), a décidé d’associer son image à la dixième édition du Festival de musique urbaine d’Anoumabo, Femua 10
Abidjan - La commission nationale des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) et la Fondation du Magic system ont paraphé mardi au siège de la commission à Abidjan, un accord de partenariat devant permettre à la CNDHCI d’associer son image à la dixième édition du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA) prévu en avril.

La présidente de la CNDHCI, Namizata Sangaré a expliqué que l’idée de ce partenariat a germé il y a de cela deux années. Pour elle, « la culture vient à la commission pour contribuer à la promotion des droits de l’Homme », d’où la signature de ce partenariat. « La création artistique ou culturelle fait partie intégrante des droits de l’homme », a-t-elle estimé.

Namizata Sangaré a salué le leadership du groupe Magic system sur l’échiquier national et international. « Je voudrais vous rendre un hommage pour le rôle joué dans l’édification de notre société où les droits de l’Homme doivent être. Vous êtes un modèle pour la jeunesse de Côte d’Ivoire et vous représentez à nos yeux l’espoir, la solidarité et le partage », a-t-elle indiqué.

Le président de la Fondation Magic system, lead vocal du mythique groupe zouglou, Magic system, Traoré Salif dit A’Salfo, a salué la concrétisation de ce partenariat qui selon lui, se veut également une lucarne pour promouvoir les droits de l’Homme. « Notre partenariat va nous permettre d’apprendre beaucoup sur les droits de l’Homme et nous allons nous atteler à ce que les populations soient sensibilisées », a-t-il déclaré.

A’Salfo a expliqué que cette année, le FEMUA va se pencher sur la problématique des inégalités, de l’éducation, des grossesses en milieu scolaire, de l’école obligatoire, du réchauffement climatique (…). La 10ème édition du FEMUA va se tenir du 24 au 30 avril sur le thème « L’Afrique face au défis du réchauffement climatique ».

gak/fmo
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