Le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) organise depuis le mardi 28 mars et ce jusqu’au 1er avril 2017 à l’hôtel le Rocher de Yamoussoukro un Atelier national sur l’analyse des risque phytosanitaires du cacao.
En effet, la production cacaoyère est aujourd’hui soumise à de nombreuses contraintes (maladies et ravageurs) de nature endogènes et exogènes. Afin de faciliter la mise en place d’un système efficace de surveillance de ces différentes maladies et ravageurs qui représentent des risques énormes pour la cacaoculture ivoirienne et donc pour l’économie de notre pays, il était important de former les acteurs du secteur cacao et ceux intervenant aux différents postes frontières (terrestre, maritime et aérien) de la Côte d’Ivoire.
Ceci pour reconnaitre facilement les signes indiquant la présence de ces maladies et ravageurs à l’entrée et à la sortie du territoire national. Le but principal étant d’assurer un bon système de veille sanitaire et de quarantaine pour le cacao.
L’organisation de cet atelier intervient dans le cadre de la mise en œuvre du projet financé par le Fonds Commun des Produits de Bases (CFC) avec la contribution financière des chocolatiers et du Togo, du Nigeria, du Cameroun, du Ghana et de la Côte d’Ivoire. Projet intitulé "Gestion intégrée des nuisibles et pathogènes du cacao en Afrique".
En tout cas, Dr ZAKRA Nicodème, représentant le Directeur Général du CNRA à la cérémonie d’ouverture de cet atelier de formation, et Dr Obiété Henri, Coordonateur régional du projet, n’ont pas manqué d’attirer l’attention des participants sur l’importance du rôle d’avant-garde qu’ils ont à jouer dans ce contexte. Leurs actions au quotidien serviront à éloigner de la production cacaoyère nationale les diverses menaces qui pourraient naitre de la présence d’une ou plusieurs de ces contraintes dans notre pays.
Ainsi confiés aux bons soins de Dr Ayodélé Maria, consultante ICCO et formatrice dudit atelier, les participants issus du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, du Conseil du Café Cacao, de l’ANADER et des services de Douanes recevront les rudiments nécessaires à la bonne reconnaissance, théorique et pratique, des principales contraintes endogènes et exogènes du cacaoyer.
Cela pour mieux poser l’analyse des risques phytosanitaires liés à cette spéculation agricole phare pour la Côte d’Ivoire dans le cadre de leurs activités professionnelles quotidiennes.
Atapointe
En effet, la production cacaoyère est aujourd’hui soumise à de nombreuses contraintes (maladies et ravageurs) de nature endogènes et exogènes. Afin de faciliter la mise en place d’un système efficace de surveillance de ces différentes maladies et ravageurs qui représentent des risques énormes pour la cacaoculture ivoirienne et donc pour l’économie de notre pays, il était important de former les acteurs du secteur cacao et ceux intervenant aux différents postes frontières (terrestre, maritime et aérien) de la Côte d’Ivoire.
Ceci pour reconnaitre facilement les signes indiquant la présence de ces maladies et ravageurs à l’entrée et à la sortie du territoire national. Le but principal étant d’assurer un bon système de veille sanitaire et de quarantaine pour le cacao.
L’organisation de cet atelier intervient dans le cadre de la mise en œuvre du projet financé par le Fonds Commun des Produits de Bases (CFC) avec la contribution financière des chocolatiers et du Togo, du Nigeria, du Cameroun, du Ghana et de la Côte d’Ivoire. Projet intitulé "Gestion intégrée des nuisibles et pathogènes du cacao en Afrique".
En tout cas, Dr ZAKRA Nicodème, représentant le Directeur Général du CNRA à la cérémonie d’ouverture de cet atelier de formation, et Dr Obiété Henri, Coordonateur régional du projet, n’ont pas manqué d’attirer l’attention des participants sur l’importance du rôle d’avant-garde qu’ils ont à jouer dans ce contexte. Leurs actions au quotidien serviront à éloigner de la production cacaoyère nationale les diverses menaces qui pourraient naitre de la présence d’une ou plusieurs de ces contraintes dans notre pays.
Ainsi confiés aux bons soins de Dr Ayodélé Maria, consultante ICCO et formatrice dudit atelier, les participants issus du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, du Conseil du Café Cacao, de l’ANADER et des services de Douanes recevront les rudiments nécessaires à la bonne reconnaissance, théorique et pratique, des principales contraintes endogènes et exogènes du cacaoyer.
Cela pour mieux poser l’analyse des risques phytosanitaires liés à cette spéculation agricole phare pour la Côte d’Ivoire dans le cadre de leurs activités professionnelles quotidiennes.
Atapointe