Abidjan - Un atelier national sur l'analyse des risques phytosanitaires du cacao se tient depuis mardi à Yamoussoukro, et ce jusqu’à samedi, à l’initiative du centre national de recherche agronomique (Cnra), indique un communiqué parvenu à l’AIP.
Cet atelier s’inscrit dans la mise en oeuvre du projet "gestion intégrée des nuisibles et pathogènes du cacao en Afrique" , il est financé par le fonds commun des produits de bases (CFC), des chocolatiers et du Togo, du Nigeria, du Cameroun, du Ghana et de la Côte d'Ivoire.
La formatrice, Dr Ayodélé Maria, consultante ICCO, instruit les participants sur les rudiments nécessaires à la bonne reconnaissance, théorique et pratique, des principales contraintes endogènes et exogènes du cacoyer, afin de mieux poser l'analyse des risques phytosanitaires liés à cette spéculation agricole phare pour la Côte d'Ivoire. Ceux-ci sont issus du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, du Conseil du Café Cacao, de l'Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) et des services des Douanes.
Le représentant du directeur général du CNRA, Dr Zakra Nicodème et Dr Obiété Henri, coordonnateur régional du projet "gestion intégrée des nuisibles et pathogènes du cacao en Afrique" ont, à la cérémonie d'ouverture de cet atelier de formation, attiré l'attention des participants sur l'importance du rôle d'avant-garde qu'ils ont à jouer dans la mise en place d'un système efficace de surveillance des différentes maladies et ravageurs qui représentent des risques énormes pour la cacaoculture ivoirienne.
Leurs actions au quotidien, ont-ils souligné, serviront à éloigner de la production cacaoyère nationale les diverses menaces qui pourraient naître de la présence d'une ou plusieurs des contraintes (maladies et ravageurs) de nature endogènes et exogènes par la détection rapide des signes de ces maladies et ravageurs.
(AIP)
akn/ask
Cet atelier s’inscrit dans la mise en oeuvre du projet "gestion intégrée des nuisibles et pathogènes du cacao en Afrique" , il est financé par le fonds commun des produits de bases (CFC), des chocolatiers et du Togo, du Nigeria, du Cameroun, du Ghana et de la Côte d'Ivoire.
La formatrice, Dr Ayodélé Maria, consultante ICCO, instruit les participants sur les rudiments nécessaires à la bonne reconnaissance, théorique et pratique, des principales contraintes endogènes et exogènes du cacoyer, afin de mieux poser l'analyse des risques phytosanitaires liés à cette spéculation agricole phare pour la Côte d'Ivoire. Ceux-ci sont issus du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, du Conseil du Café Cacao, de l'Agence nationale d’appui au développement rural (ANADER) et des services des Douanes.
Le représentant du directeur général du CNRA, Dr Zakra Nicodème et Dr Obiété Henri, coordonnateur régional du projet "gestion intégrée des nuisibles et pathogènes du cacao en Afrique" ont, à la cérémonie d'ouverture de cet atelier de formation, attiré l'attention des participants sur l'importance du rôle d'avant-garde qu'ils ont à jouer dans la mise en place d'un système efficace de surveillance des différentes maladies et ravageurs qui représentent des risques énormes pour la cacaoculture ivoirienne.
Leurs actions au quotidien, ont-ils souligné, serviront à éloigner de la production cacaoyère nationale les diverses menaces qui pourraient naître de la présence d'une ou plusieurs des contraintes (maladies et ravageurs) de nature endogènes et exogènes par la détection rapide des signes de ces maladies et ravageurs.
(AIP)
akn/ask