L’Afrique va ‘’honorer’’ fin avril à Abidjan la Directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) Irina Gueorguieva Bokova avant son départ de la tête de cette institution spécialisée de l’Organisation des Nations unies (ONU).
Cet hommage sera rendu à la Bulgare, Irina Gueorguieva Bokova lors des festivités de la dixième édition du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA 10) prévue du 25 au 30 avril 2017 à Abidjan et à Adiaké (environ 100 km au Sud-Est d’Abidjan) autour du thème, ‘’l’Afrique face aux défis du réchauffement climatique’’.
‘’On a eu à la rencontrer, j’ai parlé avec elle, j’ai soumis l’idée. Elle est en train de faire mains et pied pour pouvoir se libérer pour être là parce que le FEMUA a lieu à la même période que le Conseil exécutif de l’UNESCO. Ce qui est difficile mais, elle m’a dit qu’elle fera tout son possible pour pouvoir être là parce que c’est un hommage qu’on veut lui rendre’’, a expliqué le Commissaire général du FEMUA Salif Traoré dit A’Salfo dans un entretien à APA.
‘’A la fin du mois de novembre prochain, elle ne sera plus à la tête de l’UNESCO. Et le dernier hommage que l’Afrique puisse lui rendre c’est à travers un festival comme le FEMUA’’, a poursuivi A’Salfo selon qui Mme Bokova est ‘’enchantée’’ d’être la marraine de cette édition du FEMUA.
‘’Elle a envie de venir. On attend maintenant qu’elle aménage son programme’’, a conclu Salif Traoré dans cet entretien en marge d’une visite, samedi, sur les sites du festival à Marcory-Anoumabo (Sud d’Abidjan) et à Adiaké (environ 100 km au Sud-Est d’Abidjan) avec les partenaires de l’événement dont la Compagnie ivoirienne de l’électricité (CIE), la Société de téléphonie mobile MTN, le Port autonome d’Abidjan, la Société de transport lagunaire (STL) et la Radio télévision ivoirienne (RTI).
Projet immense et évolutif, le FEMUA a vu le jour en 2008 à l’initiative de Salif Traoré, lead vocal du groupe Magic System. Cet événement à caractères social et culturel a été créé pour permettre aux populations les plus démunies et qui n’ont souvent pas les moyens de s’offrir un ticket de concert, de réaliser leurs rêves en recevant sur une même scène dans leur environnement, les plus grosses stars de la planète.
Le FEMUA qui se définit comme un des plus grands festivals de l’Afrique subsaharienne, se tient tous les ans dans une ville cosmopolite. Sa programmation artistique symbolise l’intégration. C’est également le témoignage d’une reconnaissance au quartier qui a vu naître les membres du groupe Magic System et de permettre à travers ce festival de poser des actions sociales au profit des populations ivoiriennes et africaines.
En outre, le FEMUA est un facteur de développement par ses actions sociales. Ainsi donc depuis sa création à ce jour, il compte à son actif la réhabilitation et l’équipement d’hôpitaux, d’orphelinats, de pouponnières, des dons aux réfugiés ainsi que la construction de plusieurs écoles primaires et maternelles offertes à l’Etat de Côte d’Ivoire.
LS/APA
Cet hommage sera rendu à la Bulgare, Irina Gueorguieva Bokova lors des festivités de la dixième édition du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA 10) prévue du 25 au 30 avril 2017 à Abidjan et à Adiaké (environ 100 km au Sud-Est d’Abidjan) autour du thème, ‘’l’Afrique face aux défis du réchauffement climatique’’.
‘’On a eu à la rencontrer, j’ai parlé avec elle, j’ai soumis l’idée. Elle est en train de faire mains et pied pour pouvoir se libérer pour être là parce que le FEMUA a lieu à la même période que le Conseil exécutif de l’UNESCO. Ce qui est difficile mais, elle m’a dit qu’elle fera tout son possible pour pouvoir être là parce que c’est un hommage qu’on veut lui rendre’’, a expliqué le Commissaire général du FEMUA Salif Traoré dit A’Salfo dans un entretien à APA.
‘’A la fin du mois de novembre prochain, elle ne sera plus à la tête de l’UNESCO. Et le dernier hommage que l’Afrique puisse lui rendre c’est à travers un festival comme le FEMUA’’, a poursuivi A’Salfo selon qui Mme Bokova est ‘’enchantée’’ d’être la marraine de cette édition du FEMUA.
‘’Elle a envie de venir. On attend maintenant qu’elle aménage son programme’’, a conclu Salif Traoré dans cet entretien en marge d’une visite, samedi, sur les sites du festival à Marcory-Anoumabo (Sud d’Abidjan) et à Adiaké (environ 100 km au Sud-Est d’Abidjan) avec les partenaires de l’événement dont la Compagnie ivoirienne de l’électricité (CIE), la Société de téléphonie mobile MTN, le Port autonome d’Abidjan, la Société de transport lagunaire (STL) et la Radio télévision ivoirienne (RTI).
Projet immense et évolutif, le FEMUA a vu le jour en 2008 à l’initiative de Salif Traoré, lead vocal du groupe Magic System. Cet événement à caractères social et culturel a été créé pour permettre aux populations les plus démunies et qui n’ont souvent pas les moyens de s’offrir un ticket de concert, de réaliser leurs rêves en recevant sur une même scène dans leur environnement, les plus grosses stars de la planète.
Le FEMUA qui se définit comme un des plus grands festivals de l’Afrique subsaharienne, se tient tous les ans dans une ville cosmopolite. Sa programmation artistique symbolise l’intégration. C’est également le témoignage d’une reconnaissance au quartier qui a vu naître les membres du groupe Magic System et de permettre à travers ce festival de poser des actions sociales au profit des populations ivoiriennes et africaines.
En outre, le FEMUA est un facteur de développement par ses actions sociales. Ainsi donc depuis sa création à ce jour, il compte à son actif la réhabilitation et l’équipement d’hôpitaux, d’orphelinats, de pouponnières, des dons aux réfugiés ainsi que la construction de plusieurs écoles primaires et maternelles offertes à l’Etat de Côte d’Ivoire.
LS/APA