« Je suis là, je fais profil bas et puis je travaille », a lâché l’international ivoirien du Paris-Saint-Germain, Serge Aurier dans une interview à la télévision française, Stade 2.
L’occasion pour l’Ivoirien d’évoquer les affaires extra-sportives auxquelles il est mêlé depuis un an, des insultes à Laurent Blanc dans un Périscope à son altercation avec un policier à la sortie d’une boîte de nuit (condamné à deux mois de prison ferme, l’ancien Toulousain a fait appel). « Je suis quelqu’un qui a un gros mental, prévient Serge Aurier. Après, certaines choses se sont passées. Ça continue et ça traîne, parce que les gens ont envie d’en parler, peut-être de me détruire. Je travaille, j’essaie de rester fidèle à moi-même ». Sur l’aire de jeu, l’arrière droit du PSG vit une saison plus difficile. L’international ivoirien, abonné au banc de touche des parisiens, a dû digérer l’épisode traumatique de Barcelone en Ligue des Champions. « On regrette tous de ne pas avoir fait le maximum pour être encore dans cette compétition qu’on adore tous. Il y a eu des erreurs d’arbitrage aussi. Dans ces matchs là quand tu es trop gentil, tu payes les pots cassés », a révélé Aurier.
S.A.S
L’occasion pour l’Ivoirien d’évoquer les affaires extra-sportives auxquelles il est mêlé depuis un an, des insultes à Laurent Blanc dans un Périscope à son altercation avec un policier à la sortie d’une boîte de nuit (condamné à deux mois de prison ferme, l’ancien Toulousain a fait appel). « Je suis quelqu’un qui a un gros mental, prévient Serge Aurier. Après, certaines choses se sont passées. Ça continue et ça traîne, parce que les gens ont envie d’en parler, peut-être de me détruire. Je travaille, j’essaie de rester fidèle à moi-même ». Sur l’aire de jeu, l’arrière droit du PSG vit une saison plus difficile. L’international ivoirien, abonné au banc de touche des parisiens, a dû digérer l’épisode traumatique de Barcelone en Ligue des Champions. « On regrette tous de ne pas avoir fait le maximum pour être encore dans cette compétition qu’on adore tous. Il y a eu des erreurs d’arbitrage aussi. Dans ces matchs là quand tu es trop gentil, tu payes les pots cassés », a révélé Aurier.
S.A.S