Gagnoa- Le Conseil national des jeunes de Côte d’Ivoire (CNJCI), faitière de toutes les organisations de jeunesse de Côte d’Ivoire, était mercredi, à Gagnoa, à l’écoute d’une centaine de jeunes, délégués régionaux et départementaux venus des régions du Grand Ouest de la Côte d’Ivoire, sous le thème "Autonomisation des jeunes et l’approche des jeunes du Grand Ouest"
« Nous sommes venus entendre la voix des jeunes », a déclaré le président national du CNJCI, Edima N’Guessan Emmanuel, en place depuis le 11 février, qui a assuré le parrain, Joachim Djédjé Bagnon, président du Conseil régional du Gôh, sur la volonté du bureau national de tenir compte des avis de la jeunesse, dans les décisions.
Selon lui, l’objectif est d’écouter la jeunesse Ivoirienne, de recueillir ses préoccupations, puisque en définitive, le CNJCI constitue « l’interface » entre les pouvoirs publics et les organisations de jeunesse.
"L’une des méthodes utilisées, est d’être à l’écoute des jeunes, de ressasser les préoccupations, leurs besoins et leurs espoirs et de les traduire auprès des pouvoirs publics, notamment du ministère en charge de la Jeunesse", a-t-il dit, ajoutant que les participants étaient des leaders politiques, religieux venus des régions du Tonpki, Loh-Djiboua, Haut-Sassandra, Cavally, Marahoué, Nawa et du Gôh.
Le président du CNJCI a expliqué que pour la résolution des problèmes des jeunes, il faut que les jeunes eux-mêmes participent au processus de résolution de leurs propres difficultés.
D’autres rencontres vont se tenir aussi dans les grandes régions de l’Est, du Nord et du Centre de la Côte d’Ivoire. Le conseil est apolitique, mais des leaders politiques et religieux peuvent y adhérer.
dd/fmo
« Nous sommes venus entendre la voix des jeunes », a déclaré le président national du CNJCI, Edima N’Guessan Emmanuel, en place depuis le 11 février, qui a assuré le parrain, Joachim Djédjé Bagnon, président du Conseil régional du Gôh, sur la volonté du bureau national de tenir compte des avis de la jeunesse, dans les décisions.
Selon lui, l’objectif est d’écouter la jeunesse Ivoirienne, de recueillir ses préoccupations, puisque en définitive, le CNJCI constitue « l’interface » entre les pouvoirs publics et les organisations de jeunesse.
"L’une des méthodes utilisées, est d’être à l’écoute des jeunes, de ressasser les préoccupations, leurs besoins et leurs espoirs et de les traduire auprès des pouvoirs publics, notamment du ministère en charge de la Jeunesse", a-t-il dit, ajoutant que les participants étaient des leaders politiques, religieux venus des régions du Tonpki, Loh-Djiboua, Haut-Sassandra, Cavally, Marahoué, Nawa et du Gôh.
Le président du CNJCI a expliqué que pour la résolution des problèmes des jeunes, il faut que les jeunes eux-mêmes participent au processus de résolution de leurs propres difficultés.
D’autres rencontres vont se tenir aussi dans les grandes régions de l’Est, du Nord et du Centre de la Côte d’Ivoire. Le conseil est apolitique, mais des leaders politiques et religieux peuvent y adhérer.
dd/fmo