Acquérir de nouvelles connaissances et mettre en contact les différents acteurs du marché de l’engrais en Afrique et particulièrement en Afrique de l’ouest, tel est l’objectif principal de l‘Association Régionale des Professionnels de l’Engrais (WAFA), Argus et le centre international de développement des engrais qui organisent du 9 au 10 mai à Abidjan le "West Africa Fertilizer Forum".
Plusieurs thématiques seront débattus au cours de cette rencontre, notamment l’ Impact des actions gouvernementales sur l’utilisation des engrais pour les cultures du coton et du riz et les solutions Technologiques Efficaces et Innovantes pour une meilleure traçabilité et protection des engrais. En effet, les chefs d’Etat de la CEDEAO ont convenu lors d’un sommet en 2006 à Abuja, de relever le niveau d’utilisation des engrais à 50 kg/hectare d’ici l’horizon 2015. A l’approche de cette échéance, force est de constater qu’aucun des Etats concernés n’est prêt d’atteindre cet objectif.
Bien que la fertilité des sols est une condition sine qua non pour une activité agricole durable, les Etats de l’Afrique de l’ouest en particulier, souffre d’une faible utilisation de l’engrais par les producteurs dans les champs avec une moyenne de 12kg/ hectare. Selon les spécialistes, si rien n’est fait, l’Afrique de l’ouest sera incapable de nourrir sa population en croissance, dont le nombre atteindra 500 millions d’habitants en 2050.
Ce retard en matière d’utilisation d’engrais en Afrique de l’ouest s’expliquerait en partie par les opérations portuaires inefficientes, la faiblesse des réseaux de distributeurs et d’autres problèmes liés aux recommandations inadéquates sur les engrais, l’accès limité au financement et le coût élevé du capital. Pour relever le défi de la productivité agricole et de l’amélioration de la sécurité alimentaire et de la nutrition, les Etats africains bénéficient du soutient du gouvernement de Etats-Unis par l’intermédiaire de l’USAID.
En attendant le résolutions et recommandations de ce forum, l’USAID préconise entre autres l’amélioration du commerce intra régionale ET l’implication du secteur privé afin d’assurer une offre et une distribution pus efficaces d’engrais appropriés à prix raisonnable.
DA
Plusieurs thématiques seront débattus au cours de cette rencontre, notamment l’ Impact des actions gouvernementales sur l’utilisation des engrais pour les cultures du coton et du riz et les solutions Technologiques Efficaces et Innovantes pour une meilleure traçabilité et protection des engrais. En effet, les chefs d’Etat de la CEDEAO ont convenu lors d’un sommet en 2006 à Abuja, de relever le niveau d’utilisation des engrais à 50 kg/hectare d’ici l’horizon 2015. A l’approche de cette échéance, force est de constater qu’aucun des Etats concernés n’est prêt d’atteindre cet objectif.
Bien que la fertilité des sols est une condition sine qua non pour une activité agricole durable, les Etats de l’Afrique de l’ouest en particulier, souffre d’une faible utilisation de l’engrais par les producteurs dans les champs avec une moyenne de 12kg/ hectare. Selon les spécialistes, si rien n’est fait, l’Afrique de l’ouest sera incapable de nourrir sa population en croissance, dont le nombre atteindra 500 millions d’habitants en 2050.
Ce retard en matière d’utilisation d’engrais en Afrique de l’ouest s’expliquerait en partie par les opérations portuaires inefficientes, la faiblesse des réseaux de distributeurs et d’autres problèmes liés aux recommandations inadéquates sur les engrais, l’accès limité au financement et le coût élevé du capital. Pour relever le défi de la productivité agricole et de l’amélioration de la sécurité alimentaire et de la nutrition, les Etats africains bénéficient du soutient du gouvernement de Etats-Unis par l’intermédiaire de l’USAID.
En attendant le résolutions et recommandations de ce forum, l’USAID préconise entre autres l’amélioration du commerce intra régionale ET l’implication du secteur privé afin d’assurer une offre et une distribution pus efficaces d’engrais appropriés à prix raisonnable.
DA