Depuis le mois de janvier 2017, la Côte d’Ivoire, havre de paix, est confrontée à une crise socio-sécuritaire avec des mouvements de mutins et des grèves de fonctionnaires.
Après une accalmie et une demande de trêve sociale, depuis le vendredi 12 mai 2017, l’on a assisté à une reprise des mutineries sur l’ensemble du territoire avec la ville de Bouaké comme épicentre.
Pendant quatre jours (de vendredi à lundi), le pays a été paralysé, pris en otage par des mutins. Un accord a été conclu avec le gouvernement. Conséquence : cette situation a entraîné des pertes en vie humaines, des blessés et de nombreux dégâts matériels.
Le Forum des Chefs d’Entreprises de Côte d’Ivoire (FCE-CI) qui œuvre au développement de la Côte d’Ivoire, ne saurait rester muet face à cette situation préoccupante pour l’ensemble des chefs d’entreprises vivant, ou non dans notre pays.
C’est pourquoi, le FCE-CI en appelle au sens de responsabilité de tous et à l’esprit civique de chacun. En effet, tout en reconnaissant la nécessité pour l’Etat de Côte d’Ivoire de rétablir son autorité sur l’ensemble du territoire national, le FCE-CI exhorte le Gouvernent à continuer de privilégier le dialogue.
A ce jour, les activités économiques sont en plein régime et, le processus de reconstruction est en marche.
Le sage de Yamoussoukro ne disait-il pas et je cite : « L’arme des forts, c’est le dialogue.» C’est donc, avec satisfaction et soulagement que le Forum des Chefs d’Entreprise de Cote d’Ivoire a appris que le Gouvernement Ivoirien a usé du dialogue pour trouver la solution aux revendications des mutins.
Le FCE-CI s’incline devant la mémoire de ces morts et exprime sa compassion à toutes les victimes.
Le FCE-CI réitère sa volonté d’aider au règlement pacifique de toutes les crisespar le dialogue.
Enfin, nous remercions les entreprises de Côte d’Ivoire pour leur patience face à cette énième épreuve douloureuse.
Les populations ivoiriennes et particulièrement les chefs d’entreprisesont trop souffert des violences armées et n’aspirent résolument qu’à la paix.
Préservons le climat de paix et privilégions le dialogue national pour sauver les acquis encore fragiles de notre économie et de nos vies !
Que Dieu veille sur la Côte d’Ivoire !
Fait à Abidjan, le 19 Mai 2017
Le Bureau Exécutif du FCE-CI
Le Président
Jean Marie KONE
Après une accalmie et une demande de trêve sociale, depuis le vendredi 12 mai 2017, l’on a assisté à une reprise des mutineries sur l’ensemble du territoire avec la ville de Bouaké comme épicentre.
Pendant quatre jours (de vendredi à lundi), le pays a été paralysé, pris en otage par des mutins. Un accord a été conclu avec le gouvernement. Conséquence : cette situation a entraîné des pertes en vie humaines, des blessés et de nombreux dégâts matériels.
Le Forum des Chefs d’Entreprises de Côte d’Ivoire (FCE-CI) qui œuvre au développement de la Côte d’Ivoire, ne saurait rester muet face à cette situation préoccupante pour l’ensemble des chefs d’entreprises vivant, ou non dans notre pays.
C’est pourquoi, le FCE-CI en appelle au sens de responsabilité de tous et à l’esprit civique de chacun. En effet, tout en reconnaissant la nécessité pour l’Etat de Côte d’Ivoire de rétablir son autorité sur l’ensemble du territoire national, le FCE-CI exhorte le Gouvernent à continuer de privilégier le dialogue.
A ce jour, les activités économiques sont en plein régime et, le processus de reconstruction est en marche.
Le sage de Yamoussoukro ne disait-il pas et je cite : « L’arme des forts, c’est le dialogue.» C’est donc, avec satisfaction et soulagement que le Forum des Chefs d’Entreprise de Cote d’Ivoire a appris que le Gouvernement Ivoirien a usé du dialogue pour trouver la solution aux revendications des mutins.
Le FCE-CI s’incline devant la mémoire de ces morts et exprime sa compassion à toutes les victimes.
Le FCE-CI réitère sa volonté d’aider au règlement pacifique de toutes les crisespar le dialogue.
Enfin, nous remercions les entreprises de Côte d’Ivoire pour leur patience face à cette énième épreuve douloureuse.
Les populations ivoiriennes et particulièrement les chefs d’entreprisesont trop souffert des violences armées et n’aspirent résolument qu’à la paix.
Préservons le climat de paix et privilégions le dialogue national pour sauver les acquis encore fragiles de notre économie et de nos vies !
Que Dieu veille sur la Côte d’Ivoire !
Fait à Abidjan, le 19 Mai 2017
Le Bureau Exécutif du FCE-CI
Le Président
Jean Marie KONE