Korhogo – Les acteurs et les partenaires d’un projet d’autonomisation visant à prémunir les femmes et les jeunes filles contre le terrorisme dans le Nord de la Côte d’Ivoire se sont dits satisfaits, à l’issue d’une mission de visite et d’évaluation qui a pris fin dimanche à Korhogo.
Selon le directeur de cabinet du ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de Solidarité, Yvonne Bosso, les bénéficiaires ont témoigné, dans toutes les localités visitées, avoir retrouvé une meilleure entente avec leur conjoint, une meilleure cohésion au sein de leur famille et une meilleure cohésion au sein de leur groupement.
« En tant que ministère en charge de la solidarité, cela nous procure une entière satisfaction », a-t-elle ajouté.
Pour la représentante résidente d’Onu-femme, Marie Goretti NDuwayo, la satisfaction vient du constat que les femmes ont retrouvé la confiance en elles-mêmes à l’issue du projet.
« J’avais eu l’occasion de les rencontrer (avant le démarrage du projet, ndrl). Elles étaient préoccupées de parler de leurs difficultés et semblaient très vulnérables. Aujourd’hui, je revois des femmes remplies de confiance, capables de dire « nous aidons nos époux » car n’ayant pas peur de dépenser 50 000 f. On se dit alors qu’elles savent dire non et qu’elles peuvent résister à toute tentative d’influence liée au terrorisme ».
Pour sa part, SE Iroshi Kawaruma, Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, dont le pays a financé ce projet d’un coût de 500 millions de FCFA, s’est réjoui de l’excellence des relations entre les deux pays qui a favorisé la mise en œuvre du projet.
Débutée jeudi, à Odienné, cette mission tripartite a visité successivement les localités de Minignan, Kaniasso et Boundiali avant d’atteindre l’étape de Korhogo. Plus de 3000 femmes appartenant à 72 groupements de femmes des localités citées bénéficient depuis avril 2016 de ce projet qui s’est achevé en mars.
kaem/fmo
Selon le directeur de cabinet du ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de Solidarité, Yvonne Bosso, les bénéficiaires ont témoigné, dans toutes les localités visitées, avoir retrouvé une meilleure entente avec leur conjoint, une meilleure cohésion au sein de leur famille et une meilleure cohésion au sein de leur groupement.
« En tant que ministère en charge de la solidarité, cela nous procure une entière satisfaction », a-t-elle ajouté.
Pour la représentante résidente d’Onu-femme, Marie Goretti NDuwayo, la satisfaction vient du constat que les femmes ont retrouvé la confiance en elles-mêmes à l’issue du projet.
« J’avais eu l’occasion de les rencontrer (avant le démarrage du projet, ndrl). Elles étaient préoccupées de parler de leurs difficultés et semblaient très vulnérables. Aujourd’hui, je revois des femmes remplies de confiance, capables de dire « nous aidons nos époux » car n’ayant pas peur de dépenser 50 000 f. On se dit alors qu’elles savent dire non et qu’elles peuvent résister à toute tentative d’influence liée au terrorisme ».
Pour sa part, SE Iroshi Kawaruma, Ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, dont le pays a financé ce projet d’un coût de 500 millions de FCFA, s’est réjoui de l’excellence des relations entre les deux pays qui a favorisé la mise en œuvre du projet.
Débutée jeudi, à Odienné, cette mission tripartite a visité successivement les localités de Minignan, Kaniasso et Boundiali avant d’atteindre l’étape de Korhogo. Plus de 3000 femmes appartenant à 72 groupements de femmes des localités citées bénéficient depuis avril 2016 de ce projet qui s’est achevé en mars.
kaem/fmo