Bingerville - Le comité scientifique de la chaire écosanté, regroupant la Côte d’Ivoire, le Burkina, le Sénégal et le Bénin a ouvert sa troisième réunion lundi sur le thème de «la pollution urbaine de l’air et les maladies respiratoires non transmissibles », au Pôle scientifique de Bingerville (Banlieue Est d’Abidjan).
Selon le coordonnateur du programme écosystème et santé urbaine pour l’Afrique de l’Ouest, Fayomi Benjamin, la réunion a pour objectifs de faire le point des travaux en termes d’avancées et de former des personnes qui vont assurer la gestion de la pollution dans leurs différents pays.
A en croire M. Fayomi, «le niveau de la pollution dans les pays de la sous-région est alarmant aujourd’hui». «Cela dépend du comportement au niveau familial. Ce n’est pas parce que l’air semble clair qu’il n’y a pas de polluant dans l’atmosphère. On devait avoir le moins possible de monoxyde de carbone dans l’air, alors que cet élément sature notre environnement actuellement. Dans les pays comme le Bénin, le Burkina et le Sénégal, nous sommes largement au-dessus du seuil normal de huit en terme de proportion », a-t-il soutenu.
Le représentant de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Konaré Abdourahamane, s’est réjoui de la tenue de la présente rencontre à Abidjan qui va durer trois jours. « Je suis heureux que cette session ait lieu car nous attendons beaucoup de cette rencontre d’Abidjan », a dit le professeur Konaré.
Le projet est né en 2014 du constat « de la pollution de l’environnement dans sa globalité » et a été financé dès le départ par le centre de recherche pour le développement international (CRDI), indique-t-on.
sn/ena/akn/fmo
Selon le coordonnateur du programme écosystème et santé urbaine pour l’Afrique de l’Ouest, Fayomi Benjamin, la réunion a pour objectifs de faire le point des travaux en termes d’avancées et de former des personnes qui vont assurer la gestion de la pollution dans leurs différents pays.
A en croire M. Fayomi, «le niveau de la pollution dans les pays de la sous-région est alarmant aujourd’hui». «Cela dépend du comportement au niveau familial. Ce n’est pas parce que l’air semble clair qu’il n’y a pas de polluant dans l’atmosphère. On devait avoir le moins possible de monoxyde de carbone dans l’air, alors que cet élément sature notre environnement actuellement. Dans les pays comme le Bénin, le Burkina et le Sénégal, nous sommes largement au-dessus du seuil normal de huit en terme de proportion », a-t-il soutenu.
Le représentant de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Konaré Abdourahamane, s’est réjoui de la tenue de la présente rencontre à Abidjan qui va durer trois jours. « Je suis heureux que cette session ait lieu car nous attendons beaucoup de cette rencontre d’Abidjan », a dit le professeur Konaré.
Le projet est né en 2014 du constat « de la pollution de l’environnement dans sa globalité » et a été financé dès le départ par le centre de recherche pour le développement international (CRDI), indique-t-on.
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