Abidjan - Un collectif d’ONG composé du Forum des organisations de la société civile ivoirienne, du Syndicat national des pompes funèbres et du Groupement des souscripteurs de l’agrobusiness, annonce une manifestation à Abidjan, le 21 juillet, en vue de « protester contre toutes les frustrations sociales dont le peuple ivoirien fait l’objet ».
« Nous, peuple de Côte d’Ivoire, allons nous lever pour défendre notre quiétude et nos intérêts contre les décideurs véreux. Nous ne devons plus payer pour leurs ambitions égoïstes », a déclaré la présidente du collectif, Pulchérie Gbalet, par ailleurs présidente du Forum des organisations de la société civile, lors d’une conférence de presse animée jeudi.
Selon une note d’information transmise vendredi à l’AIP, bien avant, elle a appelé les politiciens à composer désormais avec le collectif d’ONG signataire de cette décision, parce qu’il va se lever désormais pour dénoncer toute décision ou action allant à l’encontre des intérêts du peuple, et ce, par tous les moyens démocratiques.
Ce collectif exige que le District d’Abidjan, le Gouvernement et la Commission nationale de régulation de la concurrence et de la lutte contre la vie chère prennent leurs responsabilités, dans les plus brefs délais, afin de permettre aux entreprises de pompes funèbres de continuer d’exercer librement leurs activités.
Il demande aussi que le Gouvernement respecte le contrat des souscripteurs tout en permettant aux structures d’Agrobusiness de payer les retours sur investissement normalement dus aux souscripteurs.
tg/cmas
« Nous, peuple de Côte d’Ivoire, allons nous lever pour défendre notre quiétude et nos intérêts contre les décideurs véreux. Nous ne devons plus payer pour leurs ambitions égoïstes », a déclaré la présidente du collectif, Pulchérie Gbalet, par ailleurs présidente du Forum des organisations de la société civile, lors d’une conférence de presse animée jeudi.
Selon une note d’information transmise vendredi à l’AIP, bien avant, elle a appelé les politiciens à composer désormais avec le collectif d’ONG signataire de cette décision, parce qu’il va se lever désormais pour dénoncer toute décision ou action allant à l’encontre des intérêts du peuple, et ce, par tous les moyens démocratiques.
Ce collectif exige que le District d’Abidjan, le Gouvernement et la Commission nationale de régulation de la concurrence et de la lutte contre la vie chère prennent leurs responsabilités, dans les plus brefs délais, afin de permettre aux entreprises de pompes funèbres de continuer d’exercer librement leurs activités.
Il demande aussi que le Gouvernement respecte le contrat des souscripteurs tout en permettant aux structures d’Agrobusiness de payer les retours sur investissement normalement dus aux souscripteurs.
tg/cmas