L’intelligent d’Abidjan célèbre son 4000ème numéro et soufflera par la même occasion sa 14ème bougie. Quel commentaire faites de ces cérémonies couplées ?
Je remercie la direction du journal ‘’l’Intelligent d’Abidjan’’ qui me donne l’occasion de participer à la célébration de son 4000èmenuméro couplé de son 14ème anniversaire. Parrain que je suis, je ne peux que m’en réjouir. Je suis heureux de voir que le ‘’bébé’’ mis au monde, il y’a 14 ans s’est assis, s’est tenu debout, a commencé à marcher, est devenu majeur et compétitif aujourd’hui sur le plan international avec les journaux de renommée mondiale. Je voudrais féliciter de façon singulière le fondateur, Monsieur Alafé Wakili, qui est un homme d’engagement, de volonté, courageux et tenace qui sait ce qu’il fait et qui sait où il va. Je prie le Seigneur de le soutenir et de le protéger dans toutes ses actions. Au journal, je souhaite une très longue vie, un joyeux anniversaire et que les journalistes, déjà compétents, s’améliorent davantage pour devenir plus excellents. Il est bien de monter,mais il est encore mieux de s’y maintenir. Le vrai combat, c’est le maintien. Aujourd’hui, c’est un journal qui occupe un rang honorable. C’est un journal que, lorsque je voyage, je vois dans presque tous les aéroports. Les Africains, les Ivoiriens en particulier se l’arrachent pour le lire. Je suis fier de ce journal, et tous les jours, je me réjouis d’avoir mon numéro sur la table. Pas parce que je suis parrain, mais parce que les sujets sont traités avec beaucoup d’expertise. Avec un esprit critique et également un esprit constructif. Ce n’est pas un journal qui baigne dans ce qu’on appellerait ‘’la sensation’’ mais dans l’information vraie. Et c’est un journal qui ne publie pas un article tant que les sources ne sont pas vérifiées et recoupées. Donc, je félicite le Directeur de la Publication, je félicite Mamadou Ouattara qui fait un travail de fourmi pour que ce journal aille de l’avant. Tous les jours, nous le voyons sur les routes, sur les pistes de son propre chef, très souvent en mission pour recueillir les informations fraîches, venir les traiter et les mettre à la consommation des Ivoiriens, de la communauté nationale et internationale. Je lui dis félicitation, Dieu le bénisse ! Ceci étant, j’espère que je serai de retour de ma mission et participerai de façon effective à la célébration des festivités. Je prendrai grand plaisir à être des vôtres le jour de la célébration du 14è anniversaire. Joyeux anniversaire et que Dieu vous bénisse !
Comment voyez-vous les perspectives de votre journal ?
Je les vois promoteurs. C’est un journal qui a de l’avenir, je l’ai dit. C’est un journal qui a besoin, bien sûr, d’être étoffé. Vous savez qu’à chaque fois que l’on porte une chemise, il faut la remplacer. C’est ainsi que le journal a besoin de faire peau neuve autant que l’exigeront les temps, les circonstances et les conséquences. Donc, ne pas rester figé parce que, qui n’avance pas recule. C’est une réalité, certes religieuse mais également physique. Le journal a besoin de bouger. Du point de vue qualité du papier, il n’y a pas grand-chose à dire. Concernant le nombre de pages également à retoucher et puis le reste viendra. A partir du moment où vous êtes reconnus comme un journal de référence, vous ne pouvez que vous maintenir. C’est comme au football. C’est comme dans tout sport et même dans tout métier. Vous souhaitez être ministre, on vous nomme ministre. Il faut pouvoir et Houphouët Boigny l’a dit : « Ce n’est pas la place qui fait l’homme mais plutôt l’homme qui fait la place ». Si on fait de vous un balayeur, balayez comme cela se doit. Cela va vous apporter ce que vous souhaitez avoir comme renom dans la vie. Ce n’est pas parce que le journal est beaucoup lu qu’il faut le négliger, non ! Il faut chercher à l’améliorer davantage.
En tant que parrain et avocat de ce journal, quels conseils avez-vous à donner à vos filleuls ?
Le journal me facilite la tâche. Il est rare d’entendre le journal ‘’L’Intelligent d’Abidjan’’ être attaqué devant les tribunaux. Très rare par rapport à d’autres journaux que nous voyons, pas seulement en Côte d’Ivoire mais ailleurs. Quand je vais, par exemple, devant le tribunal de Première instance de Paris à Saint-Michel, je vois que presque tous les journaux français sont attaqués. Ici à Abidjan, presque tous les journaux sont attaqués et vous voyez que rarement, il est dit que le journal ‘’l’Intelligent d’Abidjan’’ est attaqué ou suspendu. C’est une bonne attitude mais, il ne faut pas se laisser tenter par l’enthousiasme. Il faut toujours se référer à la base. Donc, c’est un bon journal et les animateurs portent la preuve qu’ils ont reçu une bonne formation, une formation de qualité. Je les encourage à se maintenir dans cette perspective. Que le journal continue de l’avant, qu’il ait une longue vie et fasse en sorte que nous ayons soif de le voir à chaque instant. Qu’il ne manque pas au nombre des quotidiens comme cela arrive rarement, indépendamment de la volonté d’ailleurs des animateurs, les journalistes que vous êtes.
Je remercie la direction du journal ‘’l’Intelligent d’Abidjan’’ qui me donne l’occasion de participer à la célébration de son 4000èmenuméro couplé de son 14ème anniversaire. Parrain que je suis, je ne peux que m’en réjouir. Je suis heureux de voir que le ‘’bébé’’ mis au monde, il y’a 14 ans s’est assis, s’est tenu debout, a commencé à marcher, est devenu majeur et compétitif aujourd’hui sur le plan international avec les journaux de renommée mondiale. Je voudrais féliciter de façon singulière le fondateur, Monsieur Alafé Wakili, qui est un homme d’engagement, de volonté, courageux et tenace qui sait ce qu’il fait et qui sait où il va. Je prie le Seigneur de le soutenir et de le protéger dans toutes ses actions. Au journal, je souhaite une très longue vie, un joyeux anniversaire et que les journalistes, déjà compétents, s’améliorent davantage pour devenir plus excellents. Il est bien de monter,mais il est encore mieux de s’y maintenir. Le vrai combat, c’est le maintien. Aujourd’hui, c’est un journal qui occupe un rang honorable. C’est un journal que, lorsque je voyage, je vois dans presque tous les aéroports. Les Africains, les Ivoiriens en particulier se l’arrachent pour le lire. Je suis fier de ce journal, et tous les jours, je me réjouis d’avoir mon numéro sur la table. Pas parce que je suis parrain, mais parce que les sujets sont traités avec beaucoup d’expertise. Avec un esprit critique et également un esprit constructif. Ce n’est pas un journal qui baigne dans ce qu’on appellerait ‘’la sensation’’ mais dans l’information vraie. Et c’est un journal qui ne publie pas un article tant que les sources ne sont pas vérifiées et recoupées. Donc, je félicite le Directeur de la Publication, je félicite Mamadou Ouattara qui fait un travail de fourmi pour que ce journal aille de l’avant. Tous les jours, nous le voyons sur les routes, sur les pistes de son propre chef, très souvent en mission pour recueillir les informations fraîches, venir les traiter et les mettre à la consommation des Ivoiriens, de la communauté nationale et internationale. Je lui dis félicitation, Dieu le bénisse ! Ceci étant, j’espère que je serai de retour de ma mission et participerai de façon effective à la célébration des festivités. Je prendrai grand plaisir à être des vôtres le jour de la célébration du 14è anniversaire. Joyeux anniversaire et que Dieu vous bénisse !
Comment voyez-vous les perspectives de votre journal ?
Je les vois promoteurs. C’est un journal qui a de l’avenir, je l’ai dit. C’est un journal qui a besoin, bien sûr, d’être étoffé. Vous savez qu’à chaque fois que l’on porte une chemise, il faut la remplacer. C’est ainsi que le journal a besoin de faire peau neuve autant que l’exigeront les temps, les circonstances et les conséquences. Donc, ne pas rester figé parce que, qui n’avance pas recule. C’est une réalité, certes religieuse mais également physique. Le journal a besoin de bouger. Du point de vue qualité du papier, il n’y a pas grand-chose à dire. Concernant le nombre de pages également à retoucher et puis le reste viendra. A partir du moment où vous êtes reconnus comme un journal de référence, vous ne pouvez que vous maintenir. C’est comme au football. C’est comme dans tout sport et même dans tout métier. Vous souhaitez être ministre, on vous nomme ministre. Il faut pouvoir et Houphouët Boigny l’a dit : « Ce n’est pas la place qui fait l’homme mais plutôt l’homme qui fait la place ». Si on fait de vous un balayeur, balayez comme cela se doit. Cela va vous apporter ce que vous souhaitez avoir comme renom dans la vie. Ce n’est pas parce que le journal est beaucoup lu qu’il faut le négliger, non ! Il faut chercher à l’améliorer davantage.
En tant que parrain et avocat de ce journal, quels conseils avez-vous à donner à vos filleuls ?
Le journal me facilite la tâche. Il est rare d’entendre le journal ‘’L’Intelligent d’Abidjan’’ être attaqué devant les tribunaux. Très rare par rapport à d’autres journaux que nous voyons, pas seulement en Côte d’Ivoire mais ailleurs. Quand je vais, par exemple, devant le tribunal de Première instance de Paris à Saint-Michel, je vois que presque tous les journaux français sont attaqués. Ici à Abidjan, presque tous les journaux sont attaqués et vous voyez que rarement, il est dit que le journal ‘’l’Intelligent d’Abidjan’’ est attaqué ou suspendu. C’est une bonne attitude mais, il ne faut pas se laisser tenter par l’enthousiasme. Il faut toujours se référer à la base. Donc, c’est un bon journal et les animateurs portent la preuve qu’ils ont reçu une bonne formation, une formation de qualité. Je les encourage à se maintenir dans cette perspective. Que le journal continue de l’avant, qu’il ait une longue vie et fasse en sorte que nous ayons soif de le voir à chaque instant. Qu’il ne manque pas au nombre des quotidiens comme cela arrive rarement, indépendamment de la volonté d’ailleurs des animateurs, les journalistes que vous êtes.