Niakara, 04 déc (AIP)-Une trentaine de femmes de la ville de Niakara (Centre-Nord,région du Hambol) ont affirmé vendredi, qu'elles s'adonnent depuis 2011 au concassage artisanal de granite, une activité qui, en dépit de sa rudesse, leur permet de prétendre à une autonomie financière.
Dame Jeanne Koné Apatcho (59 ans), concasseuse et habitante de Niakara figure au nombre des 27 femmes qui s'occupent quotidiennement du morcellement traditionnel de pierres dans une petite station de concassage artisanal, à deux kilomètres à l'entrée Sud de la ville de Niakara.
"Grâce à cette petite activité, nous arrivons à joindre les deux bouts, nous scolarisons nos enfants et menons une vie normale" , a-t-elle fait savoir en déplorant l'usage d'outils rudimentaires (pioche et marteau) et la rudesse du travail.
Le quart de barrique vendu à 1000 FCFA est la principale mesure utilisée lors de la transaction hebdomadaire. Les gains peuvent aller de 25 000 à 40.000 FCFA par personnes. Créé en 2011 par l’opérateur économique Vincent Koné Naimaitia, ce site apparaît aujourd'hui comme le point de chute des vieilles femmes, des veuves et des divorcées.
(AIP)
jbm/amak/fmo
Dame Jeanne Koné Apatcho (59 ans), concasseuse et habitante de Niakara figure au nombre des 27 femmes qui s'occupent quotidiennement du morcellement traditionnel de pierres dans une petite station de concassage artisanal, à deux kilomètres à l'entrée Sud de la ville de Niakara.
"Grâce à cette petite activité, nous arrivons à joindre les deux bouts, nous scolarisons nos enfants et menons une vie normale" , a-t-elle fait savoir en déplorant l'usage d'outils rudimentaires (pioche et marteau) et la rudesse du travail.
Le quart de barrique vendu à 1000 FCFA est la principale mesure utilisée lors de la transaction hebdomadaire. Les gains peuvent aller de 25 000 à 40.000 FCFA par personnes. Créé en 2011 par l’opérateur économique Vincent Koné Naimaitia, ce site apparaît aujourd'hui comme le point de chute des vieilles femmes, des veuves et des divorcées.
(AIP)
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