Le ministère de la Construction, du logement de l’assainissement et de l’urbanisme (MCLAU) a organisé une réunion de présentation et de validation des rapports de la mission D relative à l’élaboration du schéma directeur d’assainissement du district d’Abidjan. La rencontre qui s’est tenue ce jeudi 24 décembre 2017, à l’auditorium de la primature, a pour objectif de doter le ministère d’un outil de planification dans le domaine des infrastructures d’assainissement d’eaux usées et pluviales en vue d’améliorer sensiblement la situation sanitaire et environnementale de la ville d’Abidjan et son agglomération. Après les missions A, B, et C, la mission D consistait sur la base de la solution retenue, à l’établissement d’un programme de travaux chiffré et archivé, à élaborer une étude socio-économique et financière, ainsi qu’un plan de sensibilisation.
Les échanges et conclusions sur les rapports de la mission D seront présentés au gouvernement par le ministre de tutelle Claude Isaac Dé pour approbation. « C’est le lieu d’attirer l’attention de cette auguste assemblée sur le fait que le combat pour l’amélioration du cadre de vie, à travers l’élaboration de schémas directeurs et de travaux qui en découlent, est une affaire collective qui nécessite l’implication de tous, Elus, membres de la société civile… », a exhorté le ministre. Indiquant que «nous devons tous œuvrer à avoir des comportements éco-citoyens, en arrêtant d’utiliser les ouvrages d’assainissement et de drainage comme des dépotoirs, en arrêtant de construire dans les zones inondables, en arrêtant d’occuper les ouvrages d’assainissement et de drainage, faute de quoi tous ces efforts pour doter nos cités d’outils de planification et d’infrastructures seront vains ».
Le ministre Claude Isaac Dé a noté que « nous devons tous nous sentir concernés par les conclusions qui vont être arrêtées ». Il a relevé que les orientations et décisions qui seront prises pour l’horizon 2030 vont impacter nos populations en termes de zones inondables à libérer, d’espaces devant abriter des ouvrages d’assainissement à sécuriser.
Le périmètre de l’étude concerne le district d’Abidjan avec une population de 4 600 000 personnes recensées en 2014 pour une prévision de 7 634 000 habitants à l’horizon 2030, soit un taux de croissance de 2,68% de taux de croissance.
D.Tagro
Les échanges et conclusions sur les rapports de la mission D seront présentés au gouvernement par le ministre de tutelle Claude Isaac Dé pour approbation. « C’est le lieu d’attirer l’attention de cette auguste assemblée sur le fait que le combat pour l’amélioration du cadre de vie, à travers l’élaboration de schémas directeurs et de travaux qui en découlent, est une affaire collective qui nécessite l’implication de tous, Elus, membres de la société civile… », a exhorté le ministre. Indiquant que «nous devons tous œuvrer à avoir des comportements éco-citoyens, en arrêtant d’utiliser les ouvrages d’assainissement et de drainage comme des dépotoirs, en arrêtant de construire dans les zones inondables, en arrêtant d’occuper les ouvrages d’assainissement et de drainage, faute de quoi tous ces efforts pour doter nos cités d’outils de planification et d’infrastructures seront vains ».
Le ministre Claude Isaac Dé a noté que « nous devons tous nous sentir concernés par les conclusions qui vont être arrêtées ». Il a relevé que les orientations et décisions qui seront prises pour l’horizon 2030 vont impacter nos populations en termes de zones inondables à libérer, d’espaces devant abriter des ouvrages d’assainissement à sécuriser.
Le périmètre de l’étude concerne le district d’Abidjan avec une population de 4 600 000 personnes recensées en 2014 pour une prévision de 7 634 000 habitants à l’horizon 2030, soit un taux de croissance de 2,68% de taux de croissance.
D.Tagro