Dimbokro- La direction régionale de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité a initié un atelier de lancement des activités de la plateforme de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) dans le N’zi, dans le cadre son opérationnalisation, en présence des points focaux des différentes structures publiques et privées.
Lors d’une cérémonie qui s’est déroulée, samedi, le représentant du directeur régional de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Yao Effet, a souligné que les VBG, violation grave de l’homme, sont une réalité en Côte d’Ivoire. « Elles ont pris une ampleur telle qu’une action concertée s'impose pour lutter contre ce fléau aux conséquences lourdes et difficiles à maitriser », a-t-il affirmé.
Le coordonnateur VBG, Soro Minayaga Siaka, a estimé que la plateforme est une réelle nécessité à Dimbokro, eu égard aux chiffres disponibles. Il a indiqué que cela permettra de lutter efficacement contre les VBG, par des actions conjointes, de rendre dynamique le système de collectes des données et d’agir dans un cadre de concertation au sein de la communauté.
« La plateforme se veut donc un cadre d’échanges, de synergie d'actions, de collaboration et de concertation entre les acteurs pour apporter une réponse adéquate aux questions VBG et pour une prise en charge holistique des victimes », a ajouté M. Soro Siaka.
Les VBG se définissent comme tous actes de violences basés sur le genre qui résultent ou qui sont de nature à causer du mal ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques à soi-même, à autrui ou à une communauté, y compris des menaces à travers de tels actes, la coercition ou la privation arbitraire de la liberté que ce soit dans la vie publique et/ou privée.
ik/kp
Lors d’une cérémonie qui s’est déroulée, samedi, le représentant du directeur régional de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Yao Effet, a souligné que les VBG, violation grave de l’homme, sont une réalité en Côte d’Ivoire. « Elles ont pris une ampleur telle qu’une action concertée s'impose pour lutter contre ce fléau aux conséquences lourdes et difficiles à maitriser », a-t-il affirmé.
Le coordonnateur VBG, Soro Minayaga Siaka, a estimé que la plateforme est une réelle nécessité à Dimbokro, eu égard aux chiffres disponibles. Il a indiqué que cela permettra de lutter efficacement contre les VBG, par des actions conjointes, de rendre dynamique le système de collectes des données et d’agir dans un cadre de concertation au sein de la communauté.
« La plateforme se veut donc un cadre d’échanges, de synergie d'actions, de collaboration et de concertation entre les acteurs pour apporter une réponse adéquate aux questions VBG et pour une prise en charge holistique des victimes », a ajouté M. Soro Siaka.
Les VBG se définissent comme tous actes de violences basés sur le genre qui résultent ou qui sont de nature à causer du mal ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques à soi-même, à autrui ou à une communauté, y compris des menaces à travers de tels actes, la coercition ou la privation arbitraire de la liberté que ce soit dans la vie publique et/ou privée.
ik/kp