Le risque de noyade est très élevé sur la plage. Un visiteur sur dix sait réellement nager. Les cas de noyade sont multiples, en 2006 pour le seul weekend de pâques l’on a pu dénombrer 17 morts, en juin dernier 7 morts encore, le cas le plus récent fut le samedi 23 décembre où au cours d’une sortie détente organisée par un groupe de jeunes, l’un d’entre eux est resté dans l’eau.
Ce dernier étudiant en BTS n’avait pas prévenu ses parents de cette sortie, c’est après le drame que ses amis ont dû le faire. Les cas d’indiscipline sont très souvent les causes de ces noyades. La plupart du temps ces derniers arrivent sur la plage déjà saoule, un travail de prévention doit être fait en amont par les mairies d’où proviennent ces jeunes.
Voici un peu dépeint l’image derrière ce beau littoral de plage au sable fin et paisible qui draine du monde à chaque fois. Un seul cas de décès est assez grave pour qu’on parle. Fort heureusement que sur ces plages également, évolue une activité de protection sociale qui de plus en plus s’impose mais pas forcément connu de tous : Il s’agit des sauveteurs aquatiques.
Ceux-ci au risque de leur vie se battent à longueur de journée pour sauver des vies ; en moyenne 40 interventions le weekend. Face à tous ces risques qu’ils en courent leur métier très peu connu est très souvent minimisé et mis en arrière-plan même par les autorités compétentes.
C’est pourquoi organisés en association , les sauveteurs aquatiques ‘’ les dauphins d’or’’ ont tenu une conférence de presse ce samedi 30 décembre en bordure de page à Bassam pour interpeller les autorités comme des partenaires à se pencher sur le cas de ces jeunes bénévoles qui par leur passions du métier de sauvetage concourent à sauver des vies sans même recevoir une prime ou un salaire, enfin, quelques chose pour les motiver.
Dorothée Cupers qui est membre fondateur de cette association souhaite qu’un appui durable soit apporté à ces personnes qui font ce métier, car selon ses dires les subventions qui ne sont pas assez consistantes n’arrivent pas tout le temps, c’est très souvent de manière factuelle soit pendant le weekend de la pâques ou celui de fin d’année et pourtant ceux-ci travaillent chaque jour. Le budget de 2014 par exemple a été perçu en 2015 ce qui à permis de donner un perdiems de 15.000 à chaque sauveteur.
Ces sauveteurs ont besoin d’équipement, de formation et d’encadrement pour mener à bien leur activité de sauvetage. Une démonstration de secours a mis fin à la conférence.
Atapointe
Ce dernier étudiant en BTS n’avait pas prévenu ses parents de cette sortie, c’est après le drame que ses amis ont dû le faire. Les cas d’indiscipline sont très souvent les causes de ces noyades. La plupart du temps ces derniers arrivent sur la plage déjà saoule, un travail de prévention doit être fait en amont par les mairies d’où proviennent ces jeunes.
Voici un peu dépeint l’image derrière ce beau littoral de plage au sable fin et paisible qui draine du monde à chaque fois. Un seul cas de décès est assez grave pour qu’on parle. Fort heureusement que sur ces plages également, évolue une activité de protection sociale qui de plus en plus s’impose mais pas forcément connu de tous : Il s’agit des sauveteurs aquatiques.
Ceux-ci au risque de leur vie se battent à longueur de journée pour sauver des vies ; en moyenne 40 interventions le weekend. Face à tous ces risques qu’ils en courent leur métier très peu connu est très souvent minimisé et mis en arrière-plan même par les autorités compétentes.
C’est pourquoi organisés en association , les sauveteurs aquatiques ‘’ les dauphins d’or’’ ont tenu une conférence de presse ce samedi 30 décembre en bordure de page à Bassam pour interpeller les autorités comme des partenaires à se pencher sur le cas de ces jeunes bénévoles qui par leur passions du métier de sauvetage concourent à sauver des vies sans même recevoir une prime ou un salaire, enfin, quelques chose pour les motiver.
Dorothée Cupers qui est membre fondateur de cette association souhaite qu’un appui durable soit apporté à ces personnes qui font ce métier, car selon ses dires les subventions qui ne sont pas assez consistantes n’arrivent pas tout le temps, c’est très souvent de manière factuelle soit pendant le weekend de la pâques ou celui de fin d’année et pourtant ceux-ci travaillent chaque jour. Le budget de 2014 par exemple a été perçu en 2015 ce qui à permis de donner un perdiems de 15.000 à chaque sauveteur.
Ces sauveteurs ont besoin d’équipement, de formation et d’encadrement pour mener à bien leur activité de sauvetage. Une démonstration de secours a mis fin à la conférence.
Atapointe