Abidjan - Le Syndicat national des enseignants du privé laïc de Côte d'Ivoire (SYNEPLACI) a , au terme de son assemblée générale extraordinaire, samedi, à son siège à Abidjan-Treichville, décidé de la reconduite de sa grève pour réclamer une revalorisation salariale.
« Nous reconduisons la grève illimitée à partir du 5 février pour réclamer la prise de l’arrêté ministériel portant augmentation des salaires des enseignants et autres personnels du privé laïc » a déclaré le Secrétaire général du SYNEPLACI, Camara Oumar, s’expliquant difficilement la non prise de cet arrêté qui augmente les salaires de 9% comme convenu après discussion avec les fondateurs en ce qui concerne le secteur éducation-formation.
Selon Camara Oumar, le privé confessionnel a commencé à appliquer les 9% alors que le laïc est encore à la traine. Faisant le point de la précédente grève d’avant les congés du nouvel an, les délégués venus de plusieurs contrées du pays ont noté une grève passablement suivie et rejeté l’accusation d’avoir mis les enfants à la rue.
Les syndicats du privé laïc de Côte d’Ivoire réclament de meilleures conditions de vie et de travail des personnels enseignants et administratifs notamment la prise d’un arrêté ministériel portant revalorisation de leurs salaires par les fondateurs d’écoles privées mais aussi par le Gouvernement par rapport à la spéciale dévaluation, rappelle-t-on
akn/fmo
« Nous reconduisons la grève illimitée à partir du 5 février pour réclamer la prise de l’arrêté ministériel portant augmentation des salaires des enseignants et autres personnels du privé laïc » a déclaré le Secrétaire général du SYNEPLACI, Camara Oumar, s’expliquant difficilement la non prise de cet arrêté qui augmente les salaires de 9% comme convenu après discussion avec les fondateurs en ce qui concerne le secteur éducation-formation.
Selon Camara Oumar, le privé confessionnel a commencé à appliquer les 9% alors que le laïc est encore à la traine. Faisant le point de la précédente grève d’avant les congés du nouvel an, les délégués venus de plusieurs contrées du pays ont noté une grève passablement suivie et rejeté l’accusation d’avoir mis les enfants à la rue.
Les syndicats du privé laïc de Côte d’Ivoire réclament de meilleures conditions de vie et de travail des personnels enseignants et administratifs notamment la prise d’un arrêté ministériel portant revalorisation de leurs salaires par les fondateurs d’écoles privées mais aussi par le Gouvernement par rapport à la spéciale dévaluation, rappelle-t-on
akn/fmo