Dans le cadre de la préparation du lancement du programme d’investissement forestier (PIF), les membres du comité national de pilotage du Mécanisme Spécial de Don en faveur des Communautés Locales en Côte d’Ivoire et les observateurs dudit comité ont participé les 3 et 4 mai 2018, dans les locaux de la Banque mondiale, à un atelier de renforcement des capacités sur ce mécanisme dit DGM. L’objectif de cette session de formation est de faciliter l’appropriation et la mise en œuvre du Mécanisme Spécial de Don en faveur des Communautés Locales (DGM), qui est une initiative internationale conçue et développée dans le cadre du PIF pour renforcer l’implication des communautés locales dans la gestion des ressources forestières.
Organisé par le Secrétariat Exécutif Permanent REDD+ (SEP-REDD) en partenariat avec la Banque mondiale, cet atelier a enregistré pendant les deux jours, la participation effective des huit présidents DGM régionaux, des observateurs (Ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, SODEFOR, ANADER, OIPR, société civile), du SEP-REDD+ et la Banque mondiale.
Au cours de la première journée, les participants ont eu droit à plusieurs communications.
La première communication relative à la contribution du DGM dans l’atteinte des objectifs du Programme d’Investissement Forestier (PIF) a permis de présenter les étapes de mise en œuvre du PIF, les objectifs de développement des projets PIF, les composantes du projet PIF-Banque mondiale et le lien entre le PIF et le DGM.
La deuxième communication a été faite par Madame Meerin Shakirova, Spécialiste DGM de la Banque mondiale, et a porté sur une présentation du DGM global et national. L’expert a présenté le DGM comme une initiative conçue suite à une consultation mondiale des communautés locales en vue d’une prise en compte de leurs attentes et de leurs contributions à la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts. « Le DGM est une initiative complémentaire au PIF et vise à renforcer les capacités des communautés locales à participer au PIF et aux autres programmes REDD+ au niveau local, national et mondial » a-t-elle dit. Elle a terminé ses propos en insistant sur les composantes du DGM, les principes qui le fondent et les organes de gouvernance au niveau national et international.
Dans sa présentation, M. Gratien BONI, Consultant en sauvegarde sociale de la Banque mondiale a instruit les participants sur les le cadre de gouvernance du DGM, les rôles et responsabilités des acteurs tout au long du processus .
Il a également précisé les attributions de l’agence nationale d’exécution qui sera recrutée pour la mise en œuvre du DGM avant de présenter les domaines thématiques d’un projet DGM.
Les experts de la Banque mondiale MM Adoni Maurice et Jean Charles Kra, respectivement spécialiste en passation de marchés et spécialiste en gestion financière ont présenté quant à eux, les procédures de passation des marchés et de gestion financières applicables au DGM.
La journée du 04 mai 2018 a été consacrée à la présentation des domaines thématiques et activités potentielles par composante d’un Projet DGM, des Critères et procédures d’examen et de sélection de projets/sous-projets éligibles au financement du DGM et des prochaines étapes de la préparation du projet DGM Côte d’Ivoire et des activités du Comité.
Le Mécanisme de Gestion des Plaintes mis en place par le SEP-REDD sera également présenté.
Rappelons que la Côte d’Ivoire a été sélectionnée en 2015, comme pays pilote de la 2e phase du Fonds d’Investissement Forestier pour mettre en œuvre des projets transformationnels sous le pilotage conjoint de la Banque mondiale et de la Banque Africaine de Développement dans les zones du Sud-Ouest et du Centre.
En complément au PIF, la Côte d’Ivoire bénéficie de l’appui du Mécanisme Spécial de Don (DGM) en faveur des communautés locales à hauteur de 4,5 millions de dollars soit 2,3 milliards de francs CFA. Ce montant est destiné à financer des activités et des initiatives communautaires afin de renforcer les capacités des populations locales riveraines autour de quatorze forêts classées prises en compte par le PIF et soutenir les communautés afin qu’elles participent efficacement au PIF et à d’autres processus REDD+ au niveau local, national et international.
Atapointe
Organisé par le Secrétariat Exécutif Permanent REDD+ (SEP-REDD) en partenariat avec la Banque mondiale, cet atelier a enregistré pendant les deux jours, la participation effective des huit présidents DGM régionaux, des observateurs (Ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable, SODEFOR, ANADER, OIPR, société civile), du SEP-REDD+ et la Banque mondiale.
Au cours de la première journée, les participants ont eu droit à plusieurs communications.
La première communication relative à la contribution du DGM dans l’atteinte des objectifs du Programme d’Investissement Forestier (PIF) a permis de présenter les étapes de mise en œuvre du PIF, les objectifs de développement des projets PIF, les composantes du projet PIF-Banque mondiale et le lien entre le PIF et le DGM.
La deuxième communication a été faite par Madame Meerin Shakirova, Spécialiste DGM de la Banque mondiale, et a porté sur une présentation du DGM global et national. L’expert a présenté le DGM comme une initiative conçue suite à une consultation mondiale des communautés locales en vue d’une prise en compte de leurs attentes et de leurs contributions à la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts. « Le DGM est une initiative complémentaire au PIF et vise à renforcer les capacités des communautés locales à participer au PIF et aux autres programmes REDD+ au niveau local, national et mondial » a-t-elle dit. Elle a terminé ses propos en insistant sur les composantes du DGM, les principes qui le fondent et les organes de gouvernance au niveau national et international.
Dans sa présentation, M. Gratien BONI, Consultant en sauvegarde sociale de la Banque mondiale a instruit les participants sur les le cadre de gouvernance du DGM, les rôles et responsabilités des acteurs tout au long du processus .
Il a également précisé les attributions de l’agence nationale d’exécution qui sera recrutée pour la mise en œuvre du DGM avant de présenter les domaines thématiques d’un projet DGM.
Les experts de la Banque mondiale MM Adoni Maurice et Jean Charles Kra, respectivement spécialiste en passation de marchés et spécialiste en gestion financière ont présenté quant à eux, les procédures de passation des marchés et de gestion financières applicables au DGM.
La journée du 04 mai 2018 a été consacrée à la présentation des domaines thématiques et activités potentielles par composante d’un Projet DGM, des Critères et procédures d’examen et de sélection de projets/sous-projets éligibles au financement du DGM et des prochaines étapes de la préparation du projet DGM Côte d’Ivoire et des activités du Comité.
Le Mécanisme de Gestion des Plaintes mis en place par le SEP-REDD sera également présenté.
Rappelons que la Côte d’Ivoire a été sélectionnée en 2015, comme pays pilote de la 2e phase du Fonds d’Investissement Forestier pour mettre en œuvre des projets transformationnels sous le pilotage conjoint de la Banque mondiale et de la Banque Africaine de Développement dans les zones du Sud-Ouest et du Centre.
En complément au PIF, la Côte d’Ivoire bénéficie de l’appui du Mécanisme Spécial de Don (DGM) en faveur des communautés locales à hauteur de 4,5 millions de dollars soit 2,3 milliards de francs CFA. Ce montant est destiné à financer des activités et des initiatives communautaires afin de renforcer les capacités des populations locales riveraines autour de quatorze forêts classées prises en compte par le PIF et soutenir les communautés afin qu’elles participent efficacement au PIF et à d’autres processus REDD+ au niveau local, national et international.
Atapointe