L’ONG Partage a organisé vendredi, à la gare routière du quartier Outouké de Tabou, une journée sur la paix et la cohésion sociale dans le département.
Cette initiative, selon les organisateurs, vise à maintenir et à renforcer la paix et la cohabitation pacifique dans la région et dans les pays membres de l’Union du fleuve Mano (Liberia, Sierra Leone, Guinée et Côte d’Ivoire).
« Nous allons œuvrer pour la cohésion sociale à travers des séances de renforcement des capacités des populations sur la nécessité de vivre ensemble car cela est source de paix durable", a déclaré la présidente de l’ONG, Prudence Haweth Tagnon.
Elle a ajouté que son organisation va organiser bientôt des rencontres avec des unités conjointes de l’Union du fleuve Mano sur la coopération et la situation sécuritaire dans des localités qui seront ciblées.
Le chef du bureau local de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Mouandou Bi Mouandou, partenaire de ce projet de cohésion sociale, a pour sa part indiqué que le corps préfectoral et les forces de sécurité bénéficieront de moyens logistiques et de renforcement des capacités dans les mécanismes locaux de règlement de conflits pour davantage stabiliser la sous-région.
Des sketchs et des prestations de danses sur le thème de la cohésion sociale ont marqué cette cérémonie qui a enregistré la présence des autorités locales.
bb/bsb/cmas
Cette initiative, selon les organisateurs, vise à maintenir et à renforcer la paix et la cohabitation pacifique dans la région et dans les pays membres de l’Union du fleuve Mano (Liberia, Sierra Leone, Guinée et Côte d’Ivoire).
« Nous allons œuvrer pour la cohésion sociale à travers des séances de renforcement des capacités des populations sur la nécessité de vivre ensemble car cela est source de paix durable", a déclaré la présidente de l’ONG, Prudence Haweth Tagnon.
Elle a ajouté que son organisation va organiser bientôt des rencontres avec des unités conjointes de l’Union du fleuve Mano sur la coopération et la situation sécuritaire dans des localités qui seront ciblées.
Le chef du bureau local de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), Mouandou Bi Mouandou, partenaire de ce projet de cohésion sociale, a pour sa part indiqué que le corps préfectoral et les forces de sécurité bénéficieront de moyens logistiques et de renforcement des capacités dans les mécanismes locaux de règlement de conflits pour davantage stabiliser la sous-région.
Des sketchs et des prestations de danses sur le thème de la cohésion sociale ont marqué cette cérémonie qui a enregistré la présence des autorités locales.
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