Agboville, 20 mai (AIP) – A l’initiative du ministère de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité (MFPES), l’atelier du dialogue intercommunautaire qui s’est tenu du 17 au 19 mai à Agboville, a recommandé une réforme consensuelle de la Commission électorale indépendante (CEI), dans l’optique d’instaurer un climat de paix dans le pays.
Pour les participants qui se sont penchés sur les problèmes d’intérêt national, il est souhaitable que la classe politique s’entende sur la question de l’organisation des scrutins à venir afin d’éviter d’autres crises postélectorales.
C’est pourquoi, ils ont souhaité la mise en place d’une CEI et d’un découpage électoral consensuels tels que demandé par certains acteurs politiques.
Il y va, ont-ils dit, de la préservation du climat de paix et de la cohésion sociale dans le pays, non sans proposer que le gouvernement se donne des moyens de sensibilisation et de sécurisation des élections locales de 2018 mais aussi celles de 2020.
(AIP)
Yy/kp
Pour les participants qui se sont penchés sur les problèmes d’intérêt national, il est souhaitable que la classe politique s’entende sur la question de l’organisation des scrutins à venir afin d’éviter d’autres crises postélectorales.
C’est pourquoi, ils ont souhaité la mise en place d’une CEI et d’un découpage électoral consensuels tels que demandé par certains acteurs politiques.
Il y va, ont-ils dit, de la préservation du climat de paix et de la cohésion sociale dans le pays, non sans proposer que le gouvernement se donne des moyens de sensibilisation et de sécurisation des élections locales de 2018 mais aussi celles de 2020.
(AIP)
Yy/kp