“Repenser les dépôts institutionnels pour la gestion des connaissances au sein des institutions d’enseignement supérieur”: tel est le thème de l’atelier de formation sur la base de Données des thèses et mémoires africains, y compris la recherche ( DATAD-R) qui s’est ouvert ce mardi 03 juillet 2018 à l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire.
Pendant ces trois jours, les séminaristes devraient apprendre à comprendre l’utilité de sauvegarder les données personnelles ou collectives. Venus des pays lusophones, francophones et anglophones les séminaristes entendent intégrer désormais dans leur travail les méthodes apprises. Aussi, cet atelier leur permettra de partager ouvertement les expériences, à continuer à créer des réseaux et des plateformes pour approfondir leurs compétences en gestion des connaissances et enrichir votre code de conduite professionnel.
À en croire les initiateurs, ce septième séminaire sur : la Gestion des Dépôts Institutionnels, organisé par l’Association des Universités Africaines(AUA), en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Scientifique, vient à point nommé, à un moment où, plus que jamais, la gestion de l’information est devenue une préoccupation mondiale majeure, eut égard aux sources devenues de plus en plus multiples et multiformes.
Pour le Professeur Koné Tiémoman, président de l’université Virtuelle de Côte d’Ivoire, c’est un honneur pour son institution d’abriter un tel atelier. Surtout, à une époque où les informations fusent de partout, et où l’utilisateur moyen est submergé par une pléthore d’informations lors de la moindre recherche, il est question de savoir, comment le professionnel sélectionne les plus pertinentes, et ajoute à son tour d’autres connaissances pour les enrichir afin que l’expérience d’apprentissage soit améliorée. L’université Virtuelle de Côte d’Ivoire avec sa bibliothèque numérique est un exemple concret de la sauvegarde des données digitales.
CK
Pendant ces trois jours, les séminaristes devraient apprendre à comprendre l’utilité de sauvegarder les données personnelles ou collectives. Venus des pays lusophones, francophones et anglophones les séminaristes entendent intégrer désormais dans leur travail les méthodes apprises. Aussi, cet atelier leur permettra de partager ouvertement les expériences, à continuer à créer des réseaux et des plateformes pour approfondir leurs compétences en gestion des connaissances et enrichir votre code de conduite professionnel.
À en croire les initiateurs, ce septième séminaire sur : la Gestion des Dépôts Institutionnels, organisé par l’Association des Universités Africaines(AUA), en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Scientifique, vient à point nommé, à un moment où, plus que jamais, la gestion de l’information est devenue une préoccupation mondiale majeure, eut égard aux sources devenues de plus en plus multiples et multiformes.
Pour le Professeur Koné Tiémoman, président de l’université Virtuelle de Côte d’Ivoire, c’est un honneur pour son institution d’abriter un tel atelier. Surtout, à une époque où les informations fusent de partout, et où l’utilisateur moyen est submergé par une pléthore d’informations lors de la moindre recherche, il est question de savoir, comment le professionnel sélectionne les plus pertinentes, et ajoute à son tour d’autres connaissances pour les enrichir afin que l’expérience d’apprentissage soit améliorée. L’université Virtuelle de Côte d’Ivoire avec sa bibliothèque numérique est un exemple concret de la sauvegarde des données digitales.
CK