Afin de contribuer à la renaissance au développement du Handball ivoirien dont ils furent les porte-flambeaux dans les années 80,90 et 2000, les anciens internationaux ivoiriens de la petite balle résidant à Paris ont, au cours d’une rencontre le 30 juin dernier dans la capitale française, lancé ‘’Diaspora Ivoire Handball’’.
Ce mouvement, a expliqué son président Pacôme Kipré, a pour objectif d’appuyer les efforts de l’actuelle équipe dirigeante de la fédération ivoirienne d’Handball conduite par le Colonel Aboubakar Karaboué, afin de redonner au handball ivoirien ses lettres de noblesse. Cette discipline qui demeure la plus titrée au niveau du sport en Côte d’Ivoire. "Nous allons apporter une goutte d’eau dans la mer. Elle ne sera pas négligeable pour autant. Il suffit juste de savoir bien faire les choses et de nous focaliser sur des actions qui porteront le handball vers le haut’’, s’est exprimé Pacôme Kipré.
Les anciens internationaux ivoiriens se disent déterminer à rendre au handball ivoirien un peu de ce qu’il leur a apporté. "Il faut que tous les handballeurs et handballeuses ivoiriens vivant en France puissent aujourd’hui rendre à la nation, ce qu’elle leur a donné", a dit Pacôme Kipré avant de lancer un appel à l’ensemble des anciens internationaux à rejoindre le mouvement pour ensemble avec la fédération ivoirienne de Handball aider à repositionner cette discipline au premier plan. Pacôme Kipré n’a pas manqué de rendre hommage aux anciens internationaux qui ont écrit les lettres de noblesse du handball ivoirien.
Blé Angèle Mahoutou, championne d’Afrique 1988, Prudence Gnanduillet, représentant la génération dorée des années 80, Marie-Ange Gogbé, celle des championnes d’Afrique 1996, Seri Tapé Cathérine, pour les handballeuses professionnelles, et Cebastien Gnahoré, pour les hommes, tous membres du mouvement, ont réaffirmé leur engagement à aider le handball ivoirien à sortir du coma dans lequel il se trouve. ‘’Nous demandons à tous les handballeurs de nous rejoindre sur notre page facebook Diaspora Ivoire handball’’, a lancé Pacôme Kipré, au terme de cette rencontre.
Elisée B.
Ce mouvement, a expliqué son président Pacôme Kipré, a pour objectif d’appuyer les efforts de l’actuelle équipe dirigeante de la fédération ivoirienne d’Handball conduite par le Colonel Aboubakar Karaboué, afin de redonner au handball ivoirien ses lettres de noblesse. Cette discipline qui demeure la plus titrée au niveau du sport en Côte d’Ivoire. "Nous allons apporter une goutte d’eau dans la mer. Elle ne sera pas négligeable pour autant. Il suffit juste de savoir bien faire les choses et de nous focaliser sur des actions qui porteront le handball vers le haut’’, s’est exprimé Pacôme Kipré.
Les anciens internationaux ivoiriens se disent déterminer à rendre au handball ivoirien un peu de ce qu’il leur a apporté. "Il faut que tous les handballeurs et handballeuses ivoiriens vivant en France puissent aujourd’hui rendre à la nation, ce qu’elle leur a donné", a dit Pacôme Kipré avant de lancer un appel à l’ensemble des anciens internationaux à rejoindre le mouvement pour ensemble avec la fédération ivoirienne de Handball aider à repositionner cette discipline au premier plan. Pacôme Kipré n’a pas manqué de rendre hommage aux anciens internationaux qui ont écrit les lettres de noblesse du handball ivoirien.
Blé Angèle Mahoutou, championne d’Afrique 1988, Prudence Gnanduillet, représentant la génération dorée des années 80, Marie-Ange Gogbé, celle des championnes d’Afrique 1996, Seri Tapé Cathérine, pour les handballeuses professionnelles, et Cebastien Gnahoré, pour les hommes, tous membres du mouvement, ont réaffirmé leur engagement à aider le handball ivoirien à sortir du coma dans lequel il se trouve. ‘’Nous demandons à tous les handballeurs de nous rejoindre sur notre page facebook Diaspora Ivoire handball’’, a lancé Pacôme Kipré, au terme de cette rencontre.
Elisée B.