Abidjan- La première réunion du partenariat aquatique et de la faune d’Abidjan, tenue du lundi au mercredi, dans la commune du Plateau, a élaboré un plan d’actions élaboré sur le partenariat pour la préservation des espèces aquatiques.
Cette rencontre qui a réuni des délégués des pays d’Afrique membres de la convention d’Abidjan ainsi que des structures partenaires comme Ocean Care, le programme West Africa biodiversity and climate change (WA-BICC), de l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), etc, a aussi déterminé des priorités pour une action concertée aux niveaux national et régional, et mis en place un comité ad’hoc pour mener à bien ce partenariat.
Au nom du ministre de l’Environnement et du Développement durable, sa directrice adjointe de cabinet, Nasséré Kaba, a félicité tous les experts pour le travail abattu pendant les trois jours de travaux et remercié les structures partenaires pour leurs appuis technique et financiers qui ont permis « de faciliter le travail des experts et de promouvoir le partenariat d’Abidjan sur les espèces aquatiques en danger, menacées ou protégées ».
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre de la célébration de la journée africaine des mers et océans qui est un évènement inclus dans la stratégie maritime intégrée de l’Union Africaine de 2050 et commémorée le 25 juillet, a précisé la représentante du ministre Joseph Séké Séka.
Dans les pays côtiers d’Afrique, il est constaté de plus en plus une réduction des stocks halieutiques due à la surpêche, à la pollution provenant des activités humaines et industrielles. Une situation qui contraint les populations à recourir à la consommation des espèces aquatiques.
D’où la première réunion du partenariat aquatique et de la faune d’Abidjan dont les objectifs étaient de catalyser et orienter des actions plus efficaces sur la problématique de la faune sauvage aquatique à l’échelle régionale, de trouver des mécanismes de protection des espèces aquatiques en danger et établir des principes et pratiques durables de leur gestion au sein des communautés côtières.
fmo
Cette rencontre qui a réuni des délégués des pays d’Afrique membres de la convention d’Abidjan ainsi que des structures partenaires comme Ocean Care, le programme West Africa biodiversity and climate change (WA-BICC), de l’Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), etc, a aussi déterminé des priorités pour une action concertée aux niveaux national et régional, et mis en place un comité ad’hoc pour mener à bien ce partenariat.
Au nom du ministre de l’Environnement et du Développement durable, sa directrice adjointe de cabinet, Nasséré Kaba, a félicité tous les experts pour le travail abattu pendant les trois jours de travaux et remercié les structures partenaires pour leurs appuis technique et financiers qui ont permis « de faciliter le travail des experts et de promouvoir le partenariat d’Abidjan sur les espèces aquatiques en danger, menacées ou protégées ».
Cet atelier s’inscrivait dans le cadre de la célébration de la journée africaine des mers et océans qui est un évènement inclus dans la stratégie maritime intégrée de l’Union Africaine de 2050 et commémorée le 25 juillet, a précisé la représentante du ministre Joseph Séké Séka.
Dans les pays côtiers d’Afrique, il est constaté de plus en plus une réduction des stocks halieutiques due à la surpêche, à la pollution provenant des activités humaines et industrielles. Une situation qui contraint les populations à recourir à la consommation des espèces aquatiques.
D’où la première réunion du partenariat aquatique et de la faune d’Abidjan dont les objectifs étaient de catalyser et orienter des actions plus efficaces sur la problématique de la faune sauvage aquatique à l’échelle régionale, de trouver des mécanismes de protection des espèces aquatiques en danger et établir des principes et pratiques durables de leur gestion au sein des communautés côtières.
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