Abidjan - Le Groupe de plaidoyer et d’actions pour une transparence électorale (GPATE) salue le message "rassembleur, allant dans le sens de l’apaisement du climat socio-politique", adressé à la nation par le président de la République à la veille du 58ème anniversaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire.
Dans un communiqué dont copie est parvenue mardi à l’AIP, le président du GPATE, Abraham Dénis Yaurobat, se réjouit surtout, de l’annonce faite par le chef de l’Etat de réformer la Commission électorale indépendante (CEI), conformément à l’arrêt du 18 novembre 2016 de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.
Cette annonce, selon le réseau d’organisations de la société civile ivoirienne, contribue à baisser la tension entre les acteurs politiques et marque la volonté du chef de l’Etat à continuer à édifier un Etat de droit en Côte d’Ivoire.
Tout en appelant à une réforme inclusive rassemblant tous les acteurs significatifs, à savoir le groupement politique au pouvoir, les partis dans l’opposition et la société civile, à des discussions constructives devant aboutir à une CEI indépendante et impartiale qui doit jouer son rôle d’arbitre neutre et objectif pour des élections crédibles, le GPATE invite toute la classe politique et la société civile à saisir cette opportunité pour s’inscrire résolument dans cette dynamique en vue de donner une chance à la cohésion sociale et à la paix en Côte d’Ivoire.
Dans son message à la nation à la veille de la célébration de la fête nationale du pays, le président Alassane Ouattara a pris une ordonnance pour amnistier près d’un millier de prisonniers de la crise post-électorale de 2010-2011 dont l’ex-première dame Simone Gbagbo, Moïse Lida Kouassi, Assoa Adou et Souleymane Kamaraté dit "Soul To Soul", rappelle-t-on.
(AIP)
kp
Dans un communiqué dont copie est parvenue mardi à l’AIP, le président du GPATE, Abraham Dénis Yaurobat, se réjouit surtout, de l’annonce faite par le chef de l’Etat de réformer la Commission électorale indépendante (CEI), conformément à l’arrêt du 18 novembre 2016 de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples.
Cette annonce, selon le réseau d’organisations de la société civile ivoirienne, contribue à baisser la tension entre les acteurs politiques et marque la volonté du chef de l’Etat à continuer à édifier un Etat de droit en Côte d’Ivoire.
Tout en appelant à une réforme inclusive rassemblant tous les acteurs significatifs, à savoir le groupement politique au pouvoir, les partis dans l’opposition et la société civile, à des discussions constructives devant aboutir à une CEI indépendante et impartiale qui doit jouer son rôle d’arbitre neutre et objectif pour des élections crédibles, le GPATE invite toute la classe politique et la société civile à saisir cette opportunité pour s’inscrire résolument dans cette dynamique en vue de donner une chance à la cohésion sociale et à la paix en Côte d’Ivoire.
Dans son message à la nation à la veille de la célébration de la fête nationale du pays, le président Alassane Ouattara a pris une ordonnance pour amnistier près d’un millier de prisonniers de la crise post-électorale de 2010-2011 dont l’ex-première dame Simone Gbagbo, Moïse Lida Kouassi, Assoa Adou et Souleymane Kamaraté dit "Soul To Soul", rappelle-t-on.
(AIP)
kp
