Les données constituent la base de toutes informations dans tous les secteurs de la vie, à savoir le secteur public, privé et communautaire.
Pour les jeunes, les données disponibles dans ces secteurs qui referment plusieurs domaines tels que l’éducation, la santé, l’économie pour ne citer que ceux-ci doivent être analysées et connues.
Dans cette optique, le projet Des Chiffres et Des Jeunes (DCDJ), financé par le Plan Présidentiel d’Urgence contre le sida (PEPFAR), managé par le Millénium Challenge Corporation (MCC) et implémenté par plusieurs consortium a été mis sur pieds afin de vulgariser cette science insuffisante en Côte d’Ivoire.
Le lancement de la formation de ces jeunes a eu lieu ce vendredi 31 août à Abidjan.
Lors d’une présentation faite à cet effet, Marie-Claude Zando, chef du projet a expliqué les enjeux de cette formation : « Le programme DCLI (data collaboratives for local impact) est une initiative issue d’un partenariat entre le PEPFAR et le MCC afin de
transformer les écosystèmes des données ouvertes dans les pays en voie de développement afin d’accéder au développement économique durable. »
Elle a par ailleurs rappelé que le projet DCDJ a été lancé en mai 2018 et vise, à terme à former 120 jeunes boursiers (fellows) en science de donnée sur 9 mois (2 mois de formation et 7 de stage) au cours desquels ils seront rémunérés. C’est donc du lancement de la première vague de formation qui concerne 40 jeunes.
Il s’agit également de créer un environnement favorable à la disponibilité des données, augmenter la demande et l’offre en matière d’utilisation des données, fournir un soutien direct aux utilisateurs de données, rendre les ressources largement disponibles tant pour les données que pour l’action et faire un focus sur des secteurs clés (Santé, VIH/SIDA, Genre, Education et Croissance économique).
Pour Souleymane Koné, CEO de SEJEN Côte d’Ivoire, entreprise spécialisée dans la science de donnée et chargée de la formation, ce projet sera général mais avec une connotation santé dans le traitement des personnes vivant avec le VIH-SIDA.
« Il pourra aider le citoyen à pouvoir prendre des décisions axées sur les données, des questions simples du genre comment voter, réduire la corruption en Côte d’Ivoire. En CI beaucoup de données ne sont pas utilisées ou sous-utilisées, si on arrive donc à les coupler avec d’autres données, cela donne un autre avantage au plan économique. Durant la formation nous allons couvrir tous les sujets de compétence de la science de données, aller de tout ce qui est mathématique, statistique, informatique, langages de programmation, etc… » a-t-il précisé.
Le Conseiller technique du premier ministre chargé de l’économie numérique, Koné Lacina a souligné l’importance de la science des données qui ne sont pas assez collectées dans le pays en louant l’initiative et rassurant que le Gouvernement jouera toujours son rôle
« Cette initiative est très importante sur tous les plans, développement rural, développement urbain. Une opportunité pour le développement de la jeunesse de la Côte d’Ivoire » a-t-il signifié.
Sur un échantillon de 2000 jeunes, 40 vont être évalués pour en garder 30 à mettre sur le terrain, note-t-on.
Atapointe
Pour les jeunes, les données disponibles dans ces secteurs qui referment plusieurs domaines tels que l’éducation, la santé, l’économie pour ne citer que ceux-ci doivent être analysées et connues.
Dans cette optique, le projet Des Chiffres et Des Jeunes (DCDJ), financé par le Plan Présidentiel d’Urgence contre le sida (PEPFAR), managé par le Millénium Challenge Corporation (MCC) et implémenté par plusieurs consortium a été mis sur pieds afin de vulgariser cette science insuffisante en Côte d’Ivoire.
Le lancement de la formation de ces jeunes a eu lieu ce vendredi 31 août à Abidjan.
Lors d’une présentation faite à cet effet, Marie-Claude Zando, chef du projet a expliqué les enjeux de cette formation : « Le programme DCLI (data collaboratives for local impact) est une initiative issue d’un partenariat entre le PEPFAR et le MCC afin de
transformer les écosystèmes des données ouvertes dans les pays en voie de développement afin d’accéder au développement économique durable. »
Elle a par ailleurs rappelé que le projet DCDJ a été lancé en mai 2018 et vise, à terme à former 120 jeunes boursiers (fellows) en science de donnée sur 9 mois (2 mois de formation et 7 de stage) au cours desquels ils seront rémunérés. C’est donc du lancement de la première vague de formation qui concerne 40 jeunes.
Il s’agit également de créer un environnement favorable à la disponibilité des données, augmenter la demande et l’offre en matière d’utilisation des données, fournir un soutien direct aux utilisateurs de données, rendre les ressources largement disponibles tant pour les données que pour l’action et faire un focus sur des secteurs clés (Santé, VIH/SIDA, Genre, Education et Croissance économique).
Pour Souleymane Koné, CEO de SEJEN Côte d’Ivoire, entreprise spécialisée dans la science de donnée et chargée de la formation, ce projet sera général mais avec une connotation santé dans le traitement des personnes vivant avec le VIH-SIDA.
« Il pourra aider le citoyen à pouvoir prendre des décisions axées sur les données, des questions simples du genre comment voter, réduire la corruption en Côte d’Ivoire. En CI beaucoup de données ne sont pas utilisées ou sous-utilisées, si on arrive donc à les coupler avec d’autres données, cela donne un autre avantage au plan économique. Durant la formation nous allons couvrir tous les sujets de compétence de la science de données, aller de tout ce qui est mathématique, statistique, informatique, langages de programmation, etc… » a-t-il précisé.
Le Conseiller technique du premier ministre chargé de l’économie numérique, Koné Lacina a souligné l’importance de la science des données qui ne sont pas assez collectées dans le pays en louant l’initiative et rassurant que le Gouvernement jouera toujours son rôle
« Cette initiative est très importante sur tous les plans, développement rural, développement urbain. Une opportunité pour le développement de la jeunesse de la Côte d’Ivoire » a-t-il signifié.
Sur un échantillon de 2000 jeunes, 40 vont être évalués pour en garder 30 à mettre sur le terrain, note-t-on.
Atapointe