Ce lundi 3 Septembre 2018 à Abidjan, s’est tenu un atelier marquant la deuxième phase de la mission d’évaluation des pertes et dommages assortie d’un plan de relèvement. Cette rencontre fait suite aux pluies diluviennes survenues les 18 et 19 Juin 2018 ayant causé des pertes en vie humaine, d’importants dégâts matériels, des déplacements de personnes et la destruction d’infrastructures socio-économiques.
Présidé par le Professeur Joseph Séka Séka, Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, cet atelier a connu, la participation de plusieurs ministères, l’appui technique et financier de la Banque Mondiale, du Système des Nations Unies et de l’Union Européenne.
Selon le Professeur Joseph Séka SEKA, la mission d’évaluation a été instaurée pour fournir à tous : Une bonne compréhension des risques, leurs préventions et la construction d’une meilleure résilience des communautés. « Cette démarche a pour but de connaître les causes profondes et récurrentes des inondations urbaines en Côte d’Ivoire au mois de juin 2018. Elle aboutira à l’élaboration d’un plan de relèvement complet prenant en compte les mesures de gestion préventive, corrective et locale des risques de catastrophes.
Pendant ces deux semaines allant du 03 au 18 Septembre 2018, les travaux des différentes parties prenantes permettront de diagnostiquer les impacts des inondations sur les secteurs sociaux, infrastructurels et productifs des communautés. De façon transversale, seront pris en compte les secteurs de la gouvernance des Risques de catastrophe, la gestion de l’environnement et le genre.
Par ailleurs, Le ministre Joseph Séka SEKA a formulé une note d’espoir à l’endroit des participants. Celle de recevoir à la fin des réflexions : L’identification et la priorité des besoins de reconstruction et de relèvement à court , moyen et long terme, l’intégration des mesures de réduction du risque de catastrophe dans les programmes et projets de développement et la formulation d’une stratégie durable d’aménagement et d’administration du territoire.
Présent à cette cérémonie, Pierre Laporte Directeur des opérations de la Banque Mondiale chargé de la Côte d’Ivoire, du Bénin, du Burkina Faso, de la Guinée et du Togo a estimé que la prévention des risques et catastrophes fait partie des mesures efficaces et efficientes à long terme pour relever les défis environnementaux, économiques et sociaux. Et ce par l’application effective de solutions durables.
Il a rappelé que cette évaluation s’inscrit dans le cadre du Programme ACP-UE pour le renforcement de la résilience aux catastrophes des régions, des pays et les communautés en Afrique subsaharienne. C’est une initiative du groupe des Etats ACP gérée par la Facilité mondiale de la prévention des catastrophes et le relèvement de la banque mondiale.
Pour rappel, les pluies diluviennes survenues les 18 et 19 juin, ont enregistré plus de 250 mm de pluie dans le district d’Abidjan avec un maximum dans la commune de Cocody selon le rapport de la Direction de la Météorologie Nationale. L’eau a atteint 2,5 mètres par endroits, selon l’Office National de la Protection Civile (ONPC).
Le bilan fait état de 20 cas de décès dont 18 dans la ville d’Abidjan et 2 à l’intérieur du pays, d’importants dégâts matériels, mille vingt (1020) ménages sinistrés, avec de nombreux dégâts matériels, notamment la dégradation des infrastructures routières, l’effondrement des habitations, l’interruption momentanée de nombreuses voies de circulation, la fourniture d’eau et d’électricité dans plusieurs localités du pays.
Présidé par le Professeur Joseph Séka Séka, Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, cet atelier a connu, la participation de plusieurs ministères, l’appui technique et financier de la Banque Mondiale, du Système des Nations Unies et de l’Union Européenne.
Selon le Professeur Joseph Séka SEKA, la mission d’évaluation a été instaurée pour fournir à tous : Une bonne compréhension des risques, leurs préventions et la construction d’une meilleure résilience des communautés. « Cette démarche a pour but de connaître les causes profondes et récurrentes des inondations urbaines en Côte d’Ivoire au mois de juin 2018. Elle aboutira à l’élaboration d’un plan de relèvement complet prenant en compte les mesures de gestion préventive, corrective et locale des risques de catastrophes.
Pendant ces deux semaines allant du 03 au 18 Septembre 2018, les travaux des différentes parties prenantes permettront de diagnostiquer les impacts des inondations sur les secteurs sociaux, infrastructurels et productifs des communautés. De façon transversale, seront pris en compte les secteurs de la gouvernance des Risques de catastrophe, la gestion de l’environnement et le genre.
Par ailleurs, Le ministre Joseph Séka SEKA a formulé une note d’espoir à l’endroit des participants. Celle de recevoir à la fin des réflexions : L’identification et la priorité des besoins de reconstruction et de relèvement à court , moyen et long terme, l’intégration des mesures de réduction du risque de catastrophe dans les programmes et projets de développement et la formulation d’une stratégie durable d’aménagement et d’administration du territoire.
Présent à cette cérémonie, Pierre Laporte Directeur des opérations de la Banque Mondiale chargé de la Côte d’Ivoire, du Bénin, du Burkina Faso, de la Guinée et du Togo a estimé que la prévention des risques et catastrophes fait partie des mesures efficaces et efficientes à long terme pour relever les défis environnementaux, économiques et sociaux. Et ce par l’application effective de solutions durables.
Il a rappelé que cette évaluation s’inscrit dans le cadre du Programme ACP-UE pour le renforcement de la résilience aux catastrophes des régions, des pays et les communautés en Afrique subsaharienne. C’est une initiative du groupe des Etats ACP gérée par la Facilité mondiale de la prévention des catastrophes et le relèvement de la banque mondiale.
Pour rappel, les pluies diluviennes survenues les 18 et 19 juin, ont enregistré plus de 250 mm de pluie dans le district d’Abidjan avec un maximum dans la commune de Cocody selon le rapport de la Direction de la Météorologie Nationale. L’eau a atteint 2,5 mètres par endroits, selon l’Office National de la Protection Civile (ONPC).
Le bilan fait état de 20 cas de décès dont 18 dans la ville d’Abidjan et 2 à l’intérieur du pays, d’importants dégâts matériels, mille vingt (1020) ménages sinistrés, avec de nombreux dégâts matériels, notamment la dégradation des infrastructures routières, l’effondrement des habitations, l’interruption momentanée de nombreuses voies de circulation, la fourniture d’eau et d’électricité dans plusieurs localités du pays.