Yamoussoukro -Un atelier de validation des modules de formation en soins dédiés aux orphelins et enfants vulnérables (OEV) et leurs familles s’est ouvert lundi à Yamoussoukro, en vue de l’adoption d’une nouvelle politique dans la prise en charge élargie aux jeunes adultes de 21 ans.
"Après 13 ans, il s’agit d’orienter dans une nouvelle vision en l’élargissant à la nouvelle cible aux jeunes adultes de 21 ans et d’intégrer les avancées dans le domaine au niveau national et international", a indiqué, mardi, la sous-directrice du PN-OEV, Ankotche Mireille, au nom de la directrice du PN-OEV, Dr Solange Amethier.
La politique nationale de prise en charge des OEV et autres enfants rendus vulnérables du fait du Sida prenait en compte les enfants de zéro à 17 ans.
Dans le souci d’améliorer la qualité des services offerts aux OEV, dix modules, dont celui de la prévention, ont été révisés depuis mai 2018.
Initié par le programme national de prise en charge des orphelins et autres enfants vulnérables du fait du VIH/sida, en collaboration avec le CDC/PEPFAR, l’atelier vise à actualiser les outils développés depuis 2005 en matière de soins et de soutien aux OEV et leurs familles. Il s’agit surtout de contribuer au renforcement du cadre formel des normes et directives concernant les interventions en faveur des OEV.
L’atelier regroupe 44 représentants des partenaires techniques du PN-OEV, des structures étatiques et des agents des centres sociaux, "instruments nécessaires" dans la mise en œuvre de la prise en charge.
Ils seront outillés pour maîtriser la politique révisée afin de l’adapter au terrain pour réduire le taux de prévalence du VIH/sida. Il s’agira, selon le chef de suivi au PN-OEV, Dohou Mireille, de travailler également sur le cahier de charge du participant et le guide de formateur, pour mettre à niveau les acteurs de terrain pour qu’ils soient plus opérationnels et répondent à la nouvelle donne.
La Côte d’Ivoire fait partie des pays les plus touchés par la pandémie du VIH/Sida en Afrique de l’Ouest avec près de 476 391 enfants orphelins ou rendus vulnérables du fait de cette pandémie.
nam/kp
"Après 13 ans, il s’agit d’orienter dans une nouvelle vision en l’élargissant à la nouvelle cible aux jeunes adultes de 21 ans et d’intégrer les avancées dans le domaine au niveau national et international", a indiqué, mardi, la sous-directrice du PN-OEV, Ankotche Mireille, au nom de la directrice du PN-OEV, Dr Solange Amethier.
La politique nationale de prise en charge des OEV et autres enfants rendus vulnérables du fait du Sida prenait en compte les enfants de zéro à 17 ans.
Dans le souci d’améliorer la qualité des services offerts aux OEV, dix modules, dont celui de la prévention, ont été révisés depuis mai 2018.
Initié par le programme national de prise en charge des orphelins et autres enfants vulnérables du fait du VIH/sida, en collaboration avec le CDC/PEPFAR, l’atelier vise à actualiser les outils développés depuis 2005 en matière de soins et de soutien aux OEV et leurs familles. Il s’agit surtout de contribuer au renforcement du cadre formel des normes et directives concernant les interventions en faveur des OEV.
L’atelier regroupe 44 représentants des partenaires techniques du PN-OEV, des structures étatiques et des agents des centres sociaux, "instruments nécessaires" dans la mise en œuvre de la prise en charge.
Ils seront outillés pour maîtriser la politique révisée afin de l’adapter au terrain pour réduire le taux de prévalence du VIH/sida. Il s’agira, selon le chef de suivi au PN-OEV, Dohou Mireille, de travailler également sur le cahier de charge du participant et le guide de formateur, pour mettre à niveau les acteurs de terrain pour qu’ils soient plus opérationnels et répondent à la nouvelle donne.
La Côte d’Ivoire fait partie des pays les plus touchés par la pandémie du VIH/Sida en Afrique de l’Ouest avec près de 476 391 enfants orphelins ou rendus vulnérables du fait de cette pandémie.
nam/kp
