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Renforcer les capacités des acteurs de l’aide médicale en mer dans le cadre des conventions et des recommandations émanant des organisations internationales ;
Apporter aux acteurs d’une opération d’aide médicale en mer les outils nécessaires. Ce sont là les objectifs du séminaire dénommé « Aide Médicale en Mer », qui s’est ouvert ce mardi 16 octobre 2018, à l’Académie Régionale des Sciences et Techniques de la Mer (ARSTM) à Abidjan.
À l’initiative de l’Institut de Sécurité Maritime Interrégional (ISMI) avec le soutien financier de la France, il s’agira durant 4 jours d’identifier et évaluer les risques ; de mettre en place l’organisation et la planification opérationnelle pour se préparer aux situations d’urgence ; de traiter une situation d’urgence, de l’alerte à la prise en charge ; de mettre en place une coopération opérationnelle avec les acteurs sous-régionaux du secours en mer ; d’identifier et planifier des formations complémentaires.
À l’occasion de la session d’ouverture dudit séminaire, Bertin Tanoh, directeur général des affaires maritimes a indiqué que la question de la recherche et du sauvetage maritime fait partie des préoccupations centrales des États du golfe de Guinée. Ainsi se trouve t-elle propulsée au cœur des intérêts stratégiques de sécurité maritime. Jugeant utile cette session de formation qui vise tout aussi à renforcer les capacités des acteurs de l’assistance médicale en mer, Bertin Tanoh a révélé que cette formation traduit clairement la bonne marche de la stratégie nationale de l’action de l’Etat ivoirien en mer. Il s’est saisi de cette occasion pour saluer cette initiative qui selon lui vise à former des ressources humaines de qualité afin de bâtir une économie maritime sécurisée, sûre et durable.
Bien avant, le colonel Karim Coulibaly, directeur général de l’ARSTM a présenté l’institution qu’il dirige avant de souligner la pertinence de l’organisation de cette session de formation. Il a révélé les conditions difficiles du travail de ses hommes en mer. " les interventions en soin médicale en mer, sont très difficiles, mais la réussite de plusieurs opérations permettent
à ce tableau peu reluisant d’avoir du coffre" a-t-il confié.
CK
Apporter aux acteurs d’une opération d’aide médicale en mer les outils nécessaires. Ce sont là les objectifs du séminaire dénommé « Aide Médicale en Mer », qui s’est ouvert ce mardi 16 octobre 2018, à l’Académie Régionale des Sciences et Techniques de la Mer (ARSTM) à Abidjan.
À l’initiative de l’Institut de Sécurité Maritime Interrégional (ISMI) avec le soutien financier de la France, il s’agira durant 4 jours d’identifier et évaluer les risques ; de mettre en place l’organisation et la planification opérationnelle pour se préparer aux situations d’urgence ; de traiter une situation d’urgence, de l’alerte à la prise en charge ; de mettre en place une coopération opérationnelle avec les acteurs sous-régionaux du secours en mer ; d’identifier et planifier des formations complémentaires.
À l’occasion de la session d’ouverture dudit séminaire, Bertin Tanoh, directeur général des affaires maritimes a indiqué que la question de la recherche et du sauvetage maritime fait partie des préoccupations centrales des États du golfe de Guinée. Ainsi se trouve t-elle propulsée au cœur des intérêts stratégiques de sécurité maritime. Jugeant utile cette session de formation qui vise tout aussi à renforcer les capacités des acteurs de l’assistance médicale en mer, Bertin Tanoh a révélé que cette formation traduit clairement la bonne marche de la stratégie nationale de l’action de l’Etat ivoirien en mer. Il s’est saisi de cette occasion pour saluer cette initiative qui selon lui vise à former des ressources humaines de qualité afin de bâtir une économie maritime sécurisée, sûre et durable.
Bien avant, le colonel Karim Coulibaly, directeur général de l’ARSTM a présenté l’institution qu’il dirige avant de souligner la pertinence de l’organisation de cette session de formation. Il a révélé les conditions difficiles du travail de ses hommes en mer. " les interventions en soin médicale en mer, sont très difficiles, mais la réussite de plusieurs opérations permettent
à ce tableau peu reluisant d’avoir du coffre" a-t-il confié.
CK
