Abidjan- Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Pascal Abinan Kouakou, a indiqué jeudi, que l’économie verte peut contribuer efficacement à la lutte contre la pauvreté et à l’amélioration des conditions de vie de millions de personnes à travers le monde, se rapportant à l’édition 2018 du rapport mondial sur l’emploi et les questions sociales de l’Organisation internationale de travail (OIT).
« Ce rapport indique que la transition vers une économie verte, qui respecte et préserve l’environnement, entraînera des pertes d’emplois dans certains secteurs d’activités (énergie, agriculture, foresterie). Cependant, ces pertes seront largement compensées par de nouvelles créations de richesses et d’emplois verts, induits par de nouvelles pratiques saines et durables. Il est estimé que 24 millions d’emplois seront créés à l’échelle internationale à l’horizon 2030. Ainsi, l’économie verte peut contribuer efficacement à la lutte contre la pauvreté et à l’amélioration des conditions de vie de millions de personnes à travers le monde », a dit M. Abinan, lors de l’atelier de dissémination du rapport mondial sur l’emploi et les questions sociales dans le monde.
Il a cependant signifié que pour faire de l’économie verte un levier de création de richesses et d’emplois de qualité, plusieurs actions méritent d’être soutenues notamment le développement des énergies renouvelables, le renforcement de la synergie entre protection sociale et politique environnementale.
« Promouvoir l’emploi vert n’est pas seulement un impératif social et environnement. C’est aussi une opportunité économique et sociale pour favoriser une croissance économique forte et inclusive, génératrices de richesses et d’emplois décents, en particulier pour les jeunes et les femmes », a-t-il soutenu.
L’économie verte est une économie qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de l’équité sociale, tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie de ressources.
Les emplois verts sont des emplois décents qui contribuent à la préservation et la restauration de l’environnement, soit dans les secteurs traditionnels tels que la industrie manufacturière et construction, ou dans de nouveaux secteurs verts et émergents comme les énergies renouvelables et efficacité énergétique.
Publié en mai, les conclusions du rapport soulignent que les emplois dépendent pour beaucoup de la qualité de l’environnement et des services qu’il fournit.
ena/tm
« Ce rapport indique que la transition vers une économie verte, qui respecte et préserve l’environnement, entraînera des pertes d’emplois dans certains secteurs d’activités (énergie, agriculture, foresterie). Cependant, ces pertes seront largement compensées par de nouvelles créations de richesses et d’emplois verts, induits par de nouvelles pratiques saines et durables. Il est estimé que 24 millions d’emplois seront créés à l’échelle internationale à l’horizon 2030. Ainsi, l’économie verte peut contribuer efficacement à la lutte contre la pauvreté et à l’amélioration des conditions de vie de millions de personnes à travers le monde », a dit M. Abinan, lors de l’atelier de dissémination du rapport mondial sur l’emploi et les questions sociales dans le monde.
Il a cependant signifié que pour faire de l’économie verte un levier de création de richesses et d’emplois de qualité, plusieurs actions méritent d’être soutenues notamment le développement des énergies renouvelables, le renforcement de la synergie entre protection sociale et politique environnementale.
« Promouvoir l’emploi vert n’est pas seulement un impératif social et environnement. C’est aussi une opportunité économique et sociale pour favoriser une croissance économique forte et inclusive, génératrices de richesses et d’emplois décents, en particulier pour les jeunes et les femmes », a-t-il soutenu.
L’économie verte est une économie qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de l’équité sociale, tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie de ressources.
Les emplois verts sont des emplois décents qui contribuent à la préservation et la restauration de l’environnement, soit dans les secteurs traditionnels tels que la industrie manufacturière et construction, ou dans de nouveaux secteurs verts et émergents comme les énergies renouvelables et efficacité énergétique.
Publié en mai, les conclusions du rapport soulignent que les emplois dépendent pour beaucoup de la qualité de l’environnement et des services qu’il fournit.
ena/tm