La 26e journée internationale des personnes en situation de handicaps a été célébrée ce jeudi 27 décembre en Côte d’Ivoire sous le thème national « éducation inclusive, facteur de cohésion sociale ».
A cette occasion, celles-ci ont plaidé pour que les mesures prises pour leur insertion soient appliquées : « Nous saluons le recrutement dérogatoire à la fonction publique de 158 personnes en situation de handicap en 2018. Toutefois, il reste insuffisant. Nous souhaitons que l’Etat fasse plus d’effort pour que ce nombre soit revu à la hausse en 2019 soit le recrutement dérogatoire de 500 personnes en situation de handicap » a plaidé Didier Gnapka, président de la fédération des Sourds de Côte d’ivoire.
Continuant, le porte-parole des personnes handicapées a indiqué que ce thème est un moyen de favoriser la participation des personnes en situation de handicap à la vie de la nation et de sa communauté.
« L’éducation est un droit fondamental intangible, pourtant nous sommes victimes des violations de ce droit. Nous appelons le gouvernement à assurer l’égalité à l’éducation et autres formations professionnelles selon la cible 4 des Objectifs du Développement Durable.
Dans le monde, 10 à 15% de la population est en situation de handicap selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). En Côte d’Ivoire, 453 453 personnes vivent cette situation selon le dernier Recensement Général de la Population et de l’Habitat.
En dépit des nombreuses conventions ratifiées par le gouvernement, « la prise en charge de ceux-ci demeure problématique ». Comme l’a révélé Camille Tanoh, Président de l’association des parents des enfants handicapés.
La journée internationale des personnes handicapées est célébrée chaque 3 décembre selon la volonté des Nations Unies. Le thème international retenu cette année est « Autonomiser les personnes en situation de handicap pour assurer la participation et l’égalité. »
Pour Pascal Abinan Kouakou, Ministre de l’Emploi et de la Protection sociale : « c’est le lieu de manifester la solidarité envers la personne en situation de handicap et faire le bilan de la promotion de leurs droits ». A ce niveau, plusieurs actions ont été entreprises a rappelé le Ministre. Il s’agit entre autres du recrutement dérogatoire de 1000 personnes en situation de handicap, l’augmentation de la subvention faite aux associations de ceux-ci passée à 50 millions. « Cela traduit la volonté de l’Etat à contribuer à leur autonomisation. Mais cela nécessite l’implication de tous ».
Zaouli rosalie en est consciente. Aveugle, elle est commerçante de vivriers à Yopougon. Comme elle François Bacon, non voyant est fermier depuis 10 ans. Grâce à ces activités, ils arrivent à se prendre en charge. Ils ont reçu des prix d’encouragement de la part du Ministre comme pour dire que le handicap n’est pas un frein à l’épanouissement.
C. K.
A cette occasion, celles-ci ont plaidé pour que les mesures prises pour leur insertion soient appliquées : « Nous saluons le recrutement dérogatoire à la fonction publique de 158 personnes en situation de handicap en 2018. Toutefois, il reste insuffisant. Nous souhaitons que l’Etat fasse plus d’effort pour que ce nombre soit revu à la hausse en 2019 soit le recrutement dérogatoire de 500 personnes en situation de handicap » a plaidé Didier Gnapka, président de la fédération des Sourds de Côte d’ivoire.
Continuant, le porte-parole des personnes handicapées a indiqué que ce thème est un moyen de favoriser la participation des personnes en situation de handicap à la vie de la nation et de sa communauté.
« L’éducation est un droit fondamental intangible, pourtant nous sommes victimes des violations de ce droit. Nous appelons le gouvernement à assurer l’égalité à l’éducation et autres formations professionnelles selon la cible 4 des Objectifs du Développement Durable.
Dans le monde, 10 à 15% de la population est en situation de handicap selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). En Côte d’Ivoire, 453 453 personnes vivent cette situation selon le dernier Recensement Général de la Population et de l’Habitat.
En dépit des nombreuses conventions ratifiées par le gouvernement, « la prise en charge de ceux-ci demeure problématique ». Comme l’a révélé Camille Tanoh, Président de l’association des parents des enfants handicapés.
La journée internationale des personnes handicapées est célébrée chaque 3 décembre selon la volonté des Nations Unies. Le thème international retenu cette année est « Autonomiser les personnes en situation de handicap pour assurer la participation et l’égalité. »
Pour Pascal Abinan Kouakou, Ministre de l’Emploi et de la Protection sociale : « c’est le lieu de manifester la solidarité envers la personne en situation de handicap et faire le bilan de la promotion de leurs droits ». A ce niveau, plusieurs actions ont été entreprises a rappelé le Ministre. Il s’agit entre autres du recrutement dérogatoire de 1000 personnes en situation de handicap, l’augmentation de la subvention faite aux associations de ceux-ci passée à 50 millions. « Cela traduit la volonté de l’Etat à contribuer à leur autonomisation. Mais cela nécessite l’implication de tous ».
Zaouli rosalie en est consciente. Aveugle, elle est commerçante de vivriers à Yopougon. Comme elle François Bacon, non voyant est fermier depuis 10 ans. Grâce à ces activités, ils arrivent à se prendre en charge. Ils ont reçu des prix d’encouragement de la part du Ministre comme pour dire que le handicap n’est pas un frein à l’épanouissement.
C. K.
