Aboisso, Des taxis à trois roues ont fait leur apparition dans la commune de Maféré pour le bonheur des populations, mais également des propriétaires, à constaté l'AIP.
Ces taxis, achetés au Ghana voisin sont en fait des motos auxquels le concessionnaire a donné une carrosserie. Ils sont composés de deux banquettes de trois places chacune, ce qui revient à six places.
Selon Ouattara Lamine, conducteur de taxi à trois roues, la recette journalière est fixée à 6000 FCFA. Il affirme arriver, tant bien que mal, à s’en sortir. Les conducteurs de ces taxis perçoivent environ 30.000 CFA mensuellement comme salaire fait savoir Lamine.
Ces véhicules coûtent environ un million de FCFA au Ghana voisin, révèle M. Ouattara. Ils sont alimentés à l’essence super. La course à bord de l'engin coûte 200 FCFA à chaque passager.
Ces taxis exercent l’essentiel de leurs activités dans la commune. Il leur arrive, cependant, d’être sollicités pour des courses à l’extérieur de la commune. Le prix se fixe, dans ce cas, selon la distance.
Ces taxis sont tous enregistrés par la commune et y payent des taxes a-t-on appris.
Les usagers de ces taxis à trois roues les apprécient bien surtout qu’ils peuvent se rendre à des endroits que les véhiculent normaux ne peuvent pas atteindre du fait de la dégradation des voies. Ces taxis pullulent dans la commune de Maféré. Une trentaine a-t-on appris.
(AIP)
akn/tm
Ces taxis, achetés au Ghana voisin sont en fait des motos auxquels le concessionnaire a donné une carrosserie. Ils sont composés de deux banquettes de trois places chacune, ce qui revient à six places.
Selon Ouattara Lamine, conducteur de taxi à trois roues, la recette journalière est fixée à 6000 FCFA. Il affirme arriver, tant bien que mal, à s’en sortir. Les conducteurs de ces taxis perçoivent environ 30.000 CFA mensuellement comme salaire fait savoir Lamine.
Ces véhicules coûtent environ un million de FCFA au Ghana voisin, révèle M. Ouattara. Ils sont alimentés à l’essence super. La course à bord de l'engin coûte 200 FCFA à chaque passager.
Ces taxis exercent l’essentiel de leurs activités dans la commune. Il leur arrive, cependant, d’être sollicités pour des courses à l’extérieur de la commune. Le prix se fixe, dans ce cas, selon la distance.
Ces taxis sont tous enregistrés par la commune et y payent des taxes a-t-on appris.
Les usagers de ces taxis à trois roues les apprécient bien surtout qu’ils peuvent se rendre à des endroits que les véhiculent normaux ne peuvent pas atteindre du fait de la dégradation des voies. Ces taxis pullulent dans la commune de Maféré. Une trentaine a-t-on appris.
(AIP)
akn/tm
