Le directeur général de la Décentralisation et du développement local (DGDDL), Lazare Djahi Dago, a réceptionné mardi, à Abidjan, les travaux d’études relatifs au recensement du potentiel fiscal de 10 communes ivoiriennes, menés par un cabinet d’expertise sur une période de six mois.
Il s’agit des communes d’Abengourou, Adzopé, Bondoukou, Bongouanou, Bouaflé, Bouaké, Boundiali, Ferkessédougou, Gagnoa et Man qui ont constitué la phase pilote de ce projet gouvernemental confié à la Société ivoirienne d’assistance aux collectivités (SIAC).
Cette étude a consisté à recenser les contribuables de ces localités par nature d’activités et en fonction de la base de délimitation communale, pour ensuite faire ressortir les données chiffrées en termes monétaires. Ces résultats, consignés dans un manuel, seront mis à la disposition de la DGDDL qui, à son tour, va les transmettre aux communes cibles pour leur mise en application.
« A terme, c’est de passer à la dématérialisation du recouvrement des taxes municipales parce qu’il y a beaucoup de déperditions à ce niveau », a souligné le directeur général du cabinet ayant mené l’étude, Abdoulaye Diabaté, qui a exhorté toutes les communes à s’approprier cet outil moderne de gestion des collectivités territoriales en vue d’accroître ses ressources propres.
Selon Lazare Djahi Dago, le recours aux nouvelles technologies de la communication (TIC) dans le recouvrement des taxes municipales découle des limites constatées dans l’ancienne méthode animée par les collecteurs. L’innovation n’est donc pas dirigée contre lesdits agents mais de permettre que les mandats locaux se gèrent désormais dans la transparence.
« Il ne s’agit pas de mettre au chômage les collecteurs mais de les affecter à d’autres tâches. Nous voulons qu’ils fassent autre chose mais dans le même circuit. L’objectif du gouvernement est que les ressources propres des collectivités soient accrues en vue de mieux financer leur programme de développement », a-t-il indiqué, félicitant le cabinet pour l’excellent travail abattu en si peu de temps.
La restitution des résultats de la première étude a donné lieu à son extension à 10 autres communes en ce qui concerne l’année 2019.
(AIP)
fmo
Il s’agit des communes d’Abengourou, Adzopé, Bondoukou, Bongouanou, Bouaflé, Bouaké, Boundiali, Ferkessédougou, Gagnoa et Man qui ont constitué la phase pilote de ce projet gouvernemental confié à la Société ivoirienne d’assistance aux collectivités (SIAC).
Cette étude a consisté à recenser les contribuables de ces localités par nature d’activités et en fonction de la base de délimitation communale, pour ensuite faire ressortir les données chiffrées en termes monétaires. Ces résultats, consignés dans un manuel, seront mis à la disposition de la DGDDL qui, à son tour, va les transmettre aux communes cibles pour leur mise en application.
« A terme, c’est de passer à la dématérialisation du recouvrement des taxes municipales parce qu’il y a beaucoup de déperditions à ce niveau », a souligné le directeur général du cabinet ayant mené l’étude, Abdoulaye Diabaté, qui a exhorté toutes les communes à s’approprier cet outil moderne de gestion des collectivités territoriales en vue d’accroître ses ressources propres.
Selon Lazare Djahi Dago, le recours aux nouvelles technologies de la communication (TIC) dans le recouvrement des taxes municipales découle des limites constatées dans l’ancienne méthode animée par les collecteurs. L’innovation n’est donc pas dirigée contre lesdits agents mais de permettre que les mandats locaux se gèrent désormais dans la transparence.
« Il ne s’agit pas de mettre au chômage les collecteurs mais de les affecter à d’autres tâches. Nous voulons qu’ils fassent autre chose mais dans le même circuit. L’objectif du gouvernement est que les ressources propres des collectivités soient accrues en vue de mieux financer leur programme de développement », a-t-il indiqué, félicitant le cabinet pour l’excellent travail abattu en si peu de temps.
La restitution des résultats de la première étude a donné lieu à son extension à 10 autres communes en ce qui concerne l’année 2019.
(AIP)
fmo