La Côte d’Ivoire a affirmé son leadership en matière de population et développement en organisant une session spéciale au siège des Nations Unies à New York. Cet évènement parallèle fort apprécié a été organisé par le Ministère du Plan et du Développement à travers l’Office National de la Population-ONP, en collaboration avec le Fonds des Nations Unies pour la Population-UNFPA et la mission permanente de la Côte d’Ivoire à New York. La session a enregistré la participation de près de 100 Experts, partenaires et représentants de pays frères. Cet évènement a favorisé un partage d’expérience sur le rôle des Offices et Bureaux de population dans l’accélération de la mise en œuvre du programme d’actions de la Conférence Internationale sur Population et Développement et l’agenda 2030. Il a démarré par le mot de bienvenue de l’Ambassadeur IPO Désiré, Représentant Permanent Adjoint de la Côte d’Ivoire, l’intervention de Monsieur Mabingué NGOM, Directeur Régional Afrique de l’Ouest et du centre de l’UNFPA, et le mot d’ouverture des travaux par Monsieur Tano Kobenan Ngrouma, Directeur de cabinet Adjoint du Ministre du Plan et du développement.
Après les allocutions d’ouverture, Docteur HININ, Directeur Général de l’ONP a fait une présentation des acquis de la structure qu’il dirige, des réformes entreprises par notre pays pour la formulation de la politique nationale de population et la prise en compte des défis démographiques dans les plans de développement. L’intervention du DG de l’ONP a mis suffisamment en relief les avancées de notre pays en matière de population même si les défis restent nombreux. Les Représentants et délégués de plusieurs pays dont la Tunisie, le Nigeria, le Sénégal, le Kenya, le Togo, le Mali, le Ghana, la Mauritanie, le Tchad, le Cameroun, le Bangladesh, et de certains partenaires au développement, ont pris part à cette session spéciale.
Au titre des partenaires au développement, il faut souligner, outre la présence de l’UNFPA, la participation du Canada, de la Suède ainsi que de la Division Population des Nations Unies.
Des échanges, on peut retenir que les défis sur les questions de population et auxquels doivent faire face nos États restent nombreux tels que les problèmes d’autonomie des Offices, l’absence d’engagement au plus haut niveau dans nos pays pour les questions de démographie, le défaut d’appropriation nationale des enjeux démographiques, les problèmes de mobilisation de ressources, le rôle que doivent jouer les parlements, etc.
Face à ces défis, plusieurs pistes de solution ont été proposées telles que la nécessité de mettre en réseaux les Offices ou Bureaux de population pour développer la coopération sud-sud, le recours à des outils programmatiques pour disposer des évidences, la nécessité d’associer les collectivités et le secteur privé aux financements des projets et programmes de population, la mise à contribution des parlements pour le vote de budget conséquents au profit des Bureaux et Offices, l’engagement des plus hautes Autorités pour les questions de population, la nécessité de rendre les Bureaux et Offices suffisamment autonomes, orienter les politiques vers le capital humain et la recherche de mécanismes alternatifs de financement etc.
Au total, les travaux se sont très bien déroulés et les participants à l’unanimité ont salué l’initiative de la Côte d’Ivoire et ont souhaité l’organisation régulière de forums et autres évènements de cette nature pour faire le point et documenter les bonnes pratiques.
Après les allocutions d’ouverture, Docteur HININ, Directeur Général de l’ONP a fait une présentation des acquis de la structure qu’il dirige, des réformes entreprises par notre pays pour la formulation de la politique nationale de population et la prise en compte des défis démographiques dans les plans de développement. L’intervention du DG de l’ONP a mis suffisamment en relief les avancées de notre pays en matière de population même si les défis restent nombreux. Les Représentants et délégués de plusieurs pays dont la Tunisie, le Nigeria, le Sénégal, le Kenya, le Togo, le Mali, le Ghana, la Mauritanie, le Tchad, le Cameroun, le Bangladesh, et de certains partenaires au développement, ont pris part à cette session spéciale.
Au titre des partenaires au développement, il faut souligner, outre la présence de l’UNFPA, la participation du Canada, de la Suède ainsi que de la Division Population des Nations Unies.
Des échanges, on peut retenir que les défis sur les questions de population et auxquels doivent faire face nos États restent nombreux tels que les problèmes d’autonomie des Offices, l’absence d’engagement au plus haut niveau dans nos pays pour les questions de démographie, le défaut d’appropriation nationale des enjeux démographiques, les problèmes de mobilisation de ressources, le rôle que doivent jouer les parlements, etc.
Face à ces défis, plusieurs pistes de solution ont été proposées telles que la nécessité de mettre en réseaux les Offices ou Bureaux de population pour développer la coopération sud-sud, le recours à des outils programmatiques pour disposer des évidences, la nécessité d’associer les collectivités et le secteur privé aux financements des projets et programmes de population, la mise à contribution des parlements pour le vote de budget conséquents au profit des Bureaux et Offices, l’engagement des plus hautes Autorités pour les questions de population, la nécessité de rendre les Bureaux et Offices suffisamment autonomes, orienter les politiques vers le capital humain et la recherche de mécanismes alternatifs de financement etc.
Au total, les travaux se sont très bien déroulés et les participants à l’unanimité ont salué l’initiative de la Côte d’Ivoire et ont souhaité l’organisation régulière de forums et autres évènements de cette nature pour faire le point et documenter les bonnes pratiques.