Placé sous le thème de « La valorisation de la culture de Kahankro à travers jeux et danses traditionnels », les préparatifs de PAQUINOU 2019 à Kahankro vont bon train. Selon Kouadio Kouakou Vincent Dominique, vice-président de la jeunesse et commissaire général de PAQUINOU 2019 à Kahankro, cette célébration vise à valoriser le patrimoine culturel du village. « Nous, nous sommes des Baoulé.
Le peuple baoulé a sa culture qui fait de lui un peuple de valeur et celle-ci est en train de disparaître pour nos jeunes frères, pour nous-mêmes. Il y a des choses que nos parents faisaient avant qu’on ne fait plus et nous ne voulons pas que ces choses disparaissent notamment les jeux traditionnels.
L’année dernière, nous avons mis au goût du jour des jeux comme le Do, l’Alouatotinguin et l’Abaogo. Nos parents nous ont montré comment ça se fait et pour les générations à venir, il faut les perpétuer. A côté des jeux, nous avons les danses traditionnelles comme le Gbémlô que tout le monde aime à Kahankro, l’Adjoss, le tam tam parleur, l’Akpatoué et le Digui Ba. Notre objectif principal est de faire en sorte que ces jeux et ces danses traditionnelles ne disparaissent pas, et nous devons les perpétuer.
Nous avons aussi invité le Bologne, une danse du peuple sénoufo et le Zaouli du pays Gouro. Nous invitons tous les enfants de Kahankro qui vivent ailleurs, la diaspora à venir à cette fête. Car à côté de l’aspect festif, nous parlerons de développement. Nous avons aussi contacté une structure qui fait de la sensibilisation liée aux dangers de la drogue.
Au moment où la fête se déroulera, il y aura une communication sur les dangers réels de la vente et de la consommation de la drogue. Et cela à l’endroit de nos jeunes frères qui agissent souvent par ignorance. Notre sponsor officiel qui nous accompagne est une firme de boisson alcoolisée quand notre parrain est un cadre de Toumodi, fils de Zahakro qui répond au nom de Hervé Aliali, opérateur économique et conseiller économique social culturel et environnemental », a précisé le commissaire général.
Dos
Le peuple baoulé a sa culture qui fait de lui un peuple de valeur et celle-ci est en train de disparaître pour nos jeunes frères, pour nous-mêmes. Il y a des choses que nos parents faisaient avant qu’on ne fait plus et nous ne voulons pas que ces choses disparaissent notamment les jeux traditionnels.
L’année dernière, nous avons mis au goût du jour des jeux comme le Do, l’Alouatotinguin et l’Abaogo. Nos parents nous ont montré comment ça se fait et pour les générations à venir, il faut les perpétuer. A côté des jeux, nous avons les danses traditionnelles comme le Gbémlô que tout le monde aime à Kahankro, l’Adjoss, le tam tam parleur, l’Akpatoué et le Digui Ba. Notre objectif principal est de faire en sorte que ces jeux et ces danses traditionnelles ne disparaissent pas, et nous devons les perpétuer.
Nous avons aussi invité le Bologne, une danse du peuple sénoufo et le Zaouli du pays Gouro. Nous invitons tous les enfants de Kahankro qui vivent ailleurs, la diaspora à venir à cette fête. Car à côté de l’aspect festif, nous parlerons de développement. Nous avons aussi contacté une structure qui fait de la sensibilisation liée aux dangers de la drogue.
Au moment où la fête se déroulera, il y aura une communication sur les dangers réels de la vente et de la consommation de la drogue. Et cela à l’endroit de nos jeunes frères qui agissent souvent par ignorance. Notre sponsor officiel qui nous accompagne est une firme de boisson alcoolisée quand notre parrain est un cadre de Toumodi, fils de Zahakro qui répond au nom de Hervé Aliali, opérateur économique et conseiller économique social culturel et environnemental », a précisé le commissaire général.
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