Pour sceller la fin du projet « Appui à la gestion des frontières en Côte d’Ivoire », une présentation des conclusions de l’étude sur l’harmonisation des textes législatifs portant sur la gestion des flux migratoires en Côte d’Ivoire s’est tenue ce lundi 29 avril 2019, au Plateau, Abidjan.
Il s’agissait d’informer officiellement les parties prenantes de la fin du projet et, d’autre part, de présenter les principaux résultats de l’Etude d’harmonisation des législations sur le flux migratoire en Côte d’Ivoire.
Prenant la parole, Houndjé Luc, Directeur de cabinet adjoint en charge de l’administration du Territoire, au nom du ministre de l’intérieur et de la sécurité ivoirien a exprimé la gratitude de l’Etat de Côte d’Ivoire à l’Union Européenne pour l’appui financier.
A l’en croire « ces acquis, en infrastructures, en équipements et en renforcement de capacités, sont tous aussi précieux les uns que les autres, dans la politique du Gouvernement en matière de maîtrise du flux migratoire », a laissé entendre le représentant du ministre.
Mis en œuvre par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), et financé par l’Union Européenne ce projet a permis d’accroître les capacités opérationnelles et stratégiques de la Côte d’Ivoire à gérer de manière efficace, cohérente et harmonisée ses frontières, a indiqué Mme Marina SCHRAMM, chef de Mission de l’OIM en Côte d’ivoire.
A sa suite, Laurent D’Ersu, chargé d’affaires de la délégation de l’Union Européenne, a pour sa part salué l’engagement du gouvernement ivoirien à travers le ministère de l’intérieur et de la sécurité et la qualité des résultats obtenus au terme des deux années de mise en œuvre du projet.
Financé à hauteur de 2.000 000 d’euros, soit 1,3 milliards de francs CFA, le projet a permis la construction de 4 postes de police frontière à (Gbéléban, Sipilou et Gbapleu) faisant frontière avec la Guinée, et Nigouni frontalier avec Mali ; dotation des postes en 6 véhicules et en matériel de pointe pour la surveillance ; la formation de plusieurs membres du corps préfectoral, agents de l’Office National d’Identification et de la Police nationale ; l’élaboration d’un manuel relatif à la gestion des flux migratoires aux frontières de la Côte d’ivoire et l’élaboration d’un document sur l’harmonisation des législations.
C. T.
Il s’agissait d’informer officiellement les parties prenantes de la fin du projet et, d’autre part, de présenter les principaux résultats de l’Etude d’harmonisation des législations sur le flux migratoire en Côte d’Ivoire.
Prenant la parole, Houndjé Luc, Directeur de cabinet adjoint en charge de l’administration du Territoire, au nom du ministre de l’intérieur et de la sécurité ivoirien a exprimé la gratitude de l’Etat de Côte d’Ivoire à l’Union Européenne pour l’appui financier.
A l’en croire « ces acquis, en infrastructures, en équipements et en renforcement de capacités, sont tous aussi précieux les uns que les autres, dans la politique du Gouvernement en matière de maîtrise du flux migratoire », a laissé entendre le représentant du ministre.
Mis en œuvre par l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM), et financé par l’Union Européenne ce projet a permis d’accroître les capacités opérationnelles et stratégiques de la Côte d’Ivoire à gérer de manière efficace, cohérente et harmonisée ses frontières, a indiqué Mme Marina SCHRAMM, chef de Mission de l’OIM en Côte d’ivoire.
A sa suite, Laurent D’Ersu, chargé d’affaires de la délégation de l’Union Européenne, a pour sa part salué l’engagement du gouvernement ivoirien à travers le ministère de l’intérieur et de la sécurité et la qualité des résultats obtenus au terme des deux années de mise en œuvre du projet.
Financé à hauteur de 2.000 000 d’euros, soit 1,3 milliards de francs CFA, le projet a permis la construction de 4 postes de police frontière à (Gbéléban, Sipilou et Gbapleu) faisant frontière avec la Guinée, et Nigouni frontalier avec Mali ; dotation des postes en 6 véhicules et en matériel de pointe pour la surveillance ; la formation de plusieurs membres du corps préfectoral, agents de l’Office National d’Identification et de la Police nationale ; l’élaboration d’un manuel relatif à la gestion des flux migratoires aux frontières de la Côte d’ivoire et l’élaboration d’un document sur l’harmonisation des législations.
C. T.