Le Burundi va disputer sa première Coupe d’Afrique des nations. Inattendue, cette qualification pousse le pays parmi les 24 meilleures nations du continent, sur le plan du football. Mais ce bonheur est entaché par un deuil. Celui de Papy Faty, ex-international burundais décédé alors qu’il disputait un match de football. Cette disparition à quelques mois du début de la Can 2019 a plongé le pays dans la morosité. Aujourd’hui, le Burundi essaie de se remettre de ce drame. L’échéance approche, il faut faire vite.
Passer le premier tour
Les « Intamba mu Rugamba » (Hirondelles) n’ont qu’une ambition. Passer le premier tour de la Can 2019. « Je sais que c'est un autre niveau, mais il faudra sortir la tête haute. Passer la phase de poules sera un des objectifs », a déclaré le sélectionneur, Alain Olivier Niyungeko. Dans un groupe composé du Nigéria, de la Guinée et de Madagascar, les Hirondelles refusent d’abdiquer avant le début du tournoi.
Les atouts du Burundi
Le 22 juin prochain, la sélection burundaise de football disputera son premier match de la Can 2019. Pour le pays, c’est un véritable défi qu’il faut relever. Mais avec quelles armes ? « Nous avons des joueurs très importants comme Saido Berahino (qui évolue à Stoke City en Angleterre). Je suis aussi très fier de Fiston Abdul Razak qui veut toujours marquer », affirme Alain Olivier Niyungeko. Avec une attaque qui a inscrit 11 buts dans les éliminatoires et une défense qui a su tenir tête aux attaques malienne et gabonaise, le Burundi a les arguments. Fiston Abdul Razak, Saido Berahino et Selemani Ndikumana ont les capacités de défier n’importe quelle défense. De plus, ils pourront compter sur les capacités techniques de Gaël Bigimana et de Cédric Amisi (auteur du but de la qualification face au Gabon, le 23 mars dernier) pour assurer le milieu de terrain. En défense, les Hirondelles peuvent compter sur Omar Ngando, Frédéric Nsabiyumva, Karim Nizigiyimana, et le jeune gardien Jonathan Nahimana. Rendez-vous le 22 juin pour vérifier la force de frappe des « Intamba mu Rugamba ».
E.G.
Passer le premier tour
Les « Intamba mu Rugamba » (Hirondelles) n’ont qu’une ambition. Passer le premier tour de la Can 2019. « Je sais que c'est un autre niveau, mais il faudra sortir la tête haute. Passer la phase de poules sera un des objectifs », a déclaré le sélectionneur, Alain Olivier Niyungeko. Dans un groupe composé du Nigéria, de la Guinée et de Madagascar, les Hirondelles refusent d’abdiquer avant le début du tournoi.
Les atouts du Burundi
Le 22 juin prochain, la sélection burundaise de football disputera son premier match de la Can 2019. Pour le pays, c’est un véritable défi qu’il faut relever. Mais avec quelles armes ? « Nous avons des joueurs très importants comme Saido Berahino (qui évolue à Stoke City en Angleterre). Je suis aussi très fier de Fiston Abdul Razak qui veut toujours marquer », affirme Alain Olivier Niyungeko. Avec une attaque qui a inscrit 11 buts dans les éliminatoires et une défense qui a su tenir tête aux attaques malienne et gabonaise, le Burundi a les arguments. Fiston Abdul Razak, Saido Berahino et Selemani Ndikumana ont les capacités de défier n’importe quelle défense. De plus, ils pourront compter sur les capacités techniques de Gaël Bigimana et de Cédric Amisi (auteur du but de la qualification face au Gabon, le 23 mars dernier) pour assurer le milieu de terrain. En défense, les Hirondelles peuvent compter sur Omar Ngando, Frédéric Nsabiyumva, Karim Nizigiyimana, et le jeune gardien Jonathan Nahimana. Rendez-vous le 22 juin pour vérifier la force de frappe des « Intamba mu Rugamba ».
E.G.